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ait assourdissant après le vacarme des émotions de la journée. Je n'ai pas hésité. J'ai commencé à ran

ce que tu

nt sursauter mon corps fatigué. Il se tenait dans l'embrasure de la por

crié Léo. « Tu

ches. « Tu es jalouse de tante Lydie parce qu'e

mpassible. « C'est absurde, Sophie. Tu

'époque où je croyais encore en notre famille. Mon visage était vide. «

? De ta vie facil

« Si tu t'en vas, on ne te parlera pl

pas vacillé. C'était la douleur que

» A déclaré Léo, son petit visage déter

ez ! » a-t-il aboyé, son ton d'Alpha résonnant dans la pièce. « Nous avons des affaires d

. Une larme solitaire a coulé sur ma joue, mais je l'ai rapidement essuyé

r leur immunité, les baumes pour les contusions de Charles après ses entraînements d'Alpha, les rituels de pur

, son énergie s'amenuisant sans ma présence nourricière. Le foyer de la meute, autrefois un havre de paix, est devenu un lieu chaotique sous la nouvelle gestion de Lydie. Des papiers s'entassaient, la pous

phie

es yeux brûlant de fureur. Il n'avait pas l'ai

is ? Pourquoi as-tu c

s, mon visage impassible. « Je ne

on était incrédule. « Don

is fatiguée, Charles. J'ai tant donné. Maintenant, c'est à d'autres de

u le cauchemar de Mia. Et pendant ce temps, Charles ne voyait que Lydie, ses éclats de rire, ses fausses faiblesses. Les enfants, petits louveteaux impressionnables, s'étaie

e immature, Sophie. Ne

acial. « Je ne fais pas d

isages rouges de colère. « Maman est paresseuse ! » a crié

tante Lydie soit notre gardienne !

ttendant ma réaction, a

t calme, posée. « Qu'elle prenne m

Charles s'est assombri, l'aura d'A

loir ça ? » Sa voix

olume

Ramène tante Lyd

uitter la meute ! On n'a pas b

s, leurs rires résonnant dans le couloir. Je suis restée là, écoutant le son de leurs pas s'él