Le retour radical de l'héritière milliardaire

rents sont morts et que j'ai perdu notre enfant, il m'a ordonné de pra

illée à l'hôpital et je l'ai vu, serrant dans

vec moi, tu n'as jamai

telle est venue me voir. Elle m'a accusée d'être responsable de ma fausse couche avant de détruire les sou

une chose qu'il pouvait jeter sans regret. Il pensait

au, secrètement financé par ma famille milliardaire. Maintenant, il va

pit

ue d'Aveli

l m'appelait sa princesse, me promettant de me protéger de toutes les tempêtes. Maintenant, il s'éloignait pour prendre un appel, marmonnant sa philosophie de « l'in

», m'avait-il dit plus tôt ce matin-là

st pas une catastrophe. Appell

ait même p

foudroyante. Parti. Comme ça. Je me suis effondrée, le combiné tombant bru

pide, Aveline », a-t-il dit

câlin. Juste un bout de papier, un bil

», ai-je murmuré, les

es, ses yeux déjà rivés sur l'é

n amour. Tu n'as pas besoin que je te ti

là. Quand je suis revenue, vidée de toute substance, à peine capable de fonctionner, il n'a rien

morte de ce que les médecins ont appelé le chagrin, mais que je sava

mélodramatique », m'

ntion. Les gens meurent. C'est

arme, chaque tremblement dans ma voix. Ma thérapeute, une femme bienveillant

rien de mieux à faire. Tu as une belle maison, un m

ne insulte personnelle, une

. J'ai découvert que j'étais enceinte. Une petite lueur d'espoir. Peut-être ça. Peut-être qu'un bébé nous rapprocherait. Le

de sang. J'étais dans la salle de bain, seule, me tenant le ventre, regardant la dernière lueur de mon es

du conseil d'administration, Mme D

perdre le bébé », ai

eu un

i dirai quand

late, dénuée de

ais commencé à imaginer. Le poids de tout m'a écrasée. Je voulais que tout s'arrête. Je voulais que la douleur cesse.

ffolées. Une pièce d'un blanc stérile. Le bip insistant des machines. J'étais a

isage était strié de larmes, sa respiration saccadée. Elle était en hyperventilation. J'ai surpris une infirmière murmurer qu'il s'agissait d'une petite crise d

on regard plein d'une affection que je n'ava

'as jamais besoi

ce temps, son « indépendance radicale » pour moi n'était pas une philosophie. Ce n'était pas une question de principe. C'était pour elle. C'était à

e qu'il ne serait pas fort pour moi. Mais pour Christelle, pour sa petite crise de nerf

regretterait tout. Mais le ferait-il ? Regretterait-il d'avoir perdu la « princesse » qu'il avait détruite, qu

ne infirmière a percé le bro

aient lourdes. L

crié une autre voix, agitée. « Où est s

étiques. Le téléphone sonner. So

ne de bureau ! Son portable

l'air fatigué, le Dr Tr

été admise il y a plusieurs heures. Elle est dans un état critique. Nous pensons qu'il

t du fil. Je tendais l'oreille

n, distante et agacée, a crépité dans le téléph

son propre bien. Toujours à chercher l'attention. Et une fa

ndu la voix faible et tr

elle. Elle a juste besoin de toi, tu sais ?

petit rire se

line doit apprendre à se débrouiller seule. C'est précisément pour ça que

dignation dans ses yeux. Il a légèrement éloigné

efebvre. Elle a perdu le bébé. Et sa

Damien. « Je ne peux pas tout laisser tomber pour un autre des épisodes mélodramatiq

incrédulité. « Elle a essayé de se tuer. Elle a perdu son enfant. C

ère », a corrigé Damien, sa voi

doit survivre sans moi. Si elle n'est même pas capable de ça, alors elle n'est pas digne d'être ma femme. Dites-lui de montrer un peu de force. Et fra

é. Il avait racc

, puis moi, son expression un

e suis telle

le monde. En finir.* La pièce a commencé à tourner plus vite. Le bip des machines est devenu un rythme frén

in de lâcher ! »

lors, quelque part au fond de moi, une minuscule étincelle s'est allumée. Une étincelle de défi. *J

'importe quoi, me forçant à me battre.

rtie », a mur

faire regretter chaque mot. Je vivrais pour lui montrer ce qu'était la v

i entendu des cris étouffés. Mais j'étais déjà partie, avalée par les t