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Historique

Chapitre 9

Nombre de mots : 1172    |    Mis à jour : 26/11/2025

vue de

oussière dansaient dans les filets de lumière du soleil qui perçaient les rideaux tirés, illuminant les bouteilles vides éparpillées sur

hoto usée de Claire, prise il y a des années, avant l'amertume, avant la trahison. Elle riait, son visage r

rut et guttural, rempli d'un tourment qui

intement occasionnel d'une bouteille heurtant le sol. J'ai fermé les yeux, une vague de dégoût de moi-même me sub

eté la photo à travers la pièce, le cadre se brisant contre le mur. Le

quitté ? » ai-je hurlé dans le vide,

ateau d'argent avec un bol de soupe fumant dans les mains. Elle portait une robe de chambre

Tu n'as pas mangé de la journée. Tu as besoin de te

d, mes yeux brûlant d'une

rauque. « Sors de ma vue. Je ne veux pas de

vacillé, mais

Elle n'a jamais mérité ta dévotion. C'était une sangsue ! Un p

ain se tendant vers mon br

i toujours été. Contrairement à elle,

cané, un rire amer s'é

sé sa main,

douleur ? Toi, qui me murmurais constamment du venin à l'oreille ? T

lés, une lueur de choc au

yé de te protéger ! C'est elle qui était diaboliq

t. « Tu nous as détruits, Alessandra ! Toi et tes jeux malsains !

t, attrapant son bras,

' 'accident' au parc. Celles dont tu ne savais rien. Je t'ai vue la pousser. Je t'ai vue

leur. Ses yeux s'agitaient frén

as ! Elle m'a provoquée ! Elle es

essandra ! Tu empoisonnes ma vie depuis des années ! Tu as creusé un fossé entre mo

n doigt tremb

devant Dieu que je te ruinerai. Je te dépouillerai de tout ce qui t'est c

, son visage contorsionné dans un

e faire ça, Cédric ! Ma

dé, ma voix froide et dure. « Tu n'es rien, Alessandra. Rien qu'un

ueur de haine authentiq

st une moins que rien ! Une artiste pathéti

son dur et

de moi-même. « Elle ne me méritait pas. Elle méritait

é sur la photo brisée

murmure bas et dangereux. « Avant que je ne fa

villa. Je l'ai regardée partir, une victoire creuse dans ma poitrine. C'était comme si j'avais arraché

le canapé, la photo de Claire

r. Qu'est-ce que j'ai fait ? J'ai tué notre bébé. J'ai tout détruit. Je suis

mon cœur. J'ai fermé les yeux, l'image du visage de Claire strié de larmes, ses yeux remplis de haine, brûlant derrière mes paupières. E

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