e vue d

tisfaite. Clément était toujours là, une statue d'incrédulité, serrant ces pathétiques lys en pl

es fanés formant une triste tache de couleur sur la terre humide. Ses yeux,

pointer ici comme si de rien n'était ? Cinq ans, Élise ! Cinq ans que nous te croyions

un goût de poison dans ma

amusement glacial dans le ton.

lli, la mâch

se, tu avais disparu ! On a eu des

te ample vers la

m'a fait ? À Ambre

ans ma poitrine. Je me suis souvenue de la dernière fois que je l'avais vu, vraiment vu. C'é

mais elle a tranché l'air entre nous. « Ma jambe était en miettes, mes

comme s'il av

C'était terrible,

rrib

s, un son du

ue tu avais "d'autres obligations". Tu as dit que tu é

sés, chaque syllabe un

shb

mbre d'hôpital sentait l'antiseptique et le désespoir. « J'ai peu

éphone était d

elle vit si mal tout ça. Elle a besoin que je sois fort pour elle.

ot, les larmes me piquant les yeux. « Clément, notre mariage est dans

ré, un son

dent l'a mise au plus mal. Elle a besoin que je sois là demain. Pour l'essayag

is en train de mourir, et tu la choisis elle plutôt que moi ! Tu choisis Ambre, la femme qui a volé ma bague

Puis, sa voix, froide et

ais, tout simplement. Ambre mérite le bonheur. Un vrai bonheur. Pas ce dr

u Fla

. « C'étaient tes mots exacts, n'est-ce pas, Clément ?

n masque de confus

! On était tous stressés ! Tu as toujours été si

ans ses cheveux, me t

vêtements ? Nouvelle coupe de cheveux ? C'est une sorte de jeu malsain ? Tu as

sourire narquois se

ps. Mais Ambre et moi sommes heureux.

ue geste vers la

se, si tu veux revenir, on peut peut-être en parler. Ambre a toujours eu un faible pour toi, malgr

'audace, l'apitoiement

e ne suis pas revenue pour toi, Clément. Je ne suis pas revenue pour Ambre, n

dépasser, me dirigeant ve

prendre la peine de me retourner. « Ramasse ces lys en plastique. Ils

ntinué à marcher. Je n'allais pas le laisser m