n de cette prise de tête. Éros nos affaires en main, nous suivit. Sur la route, il relâcha

urais pas dù

e raconte

ée. Faut qu

à toute vitesse, droit devant elle, les chev

attends,

ain, sans même se retourner.

fichais-t

, suis

u n'es q

le rappela-t

it tellement énerv

la peine de me parler comme ça. Vous n'avez qu'à

élodie, répondit

côtés, je me sentais bien, en sécurité, comme apa

e raccompagner,

s pas vous déra

is, tu ne nous déranges. Cela est touj

able, compréhensible, doux et toujours de bonne compagnie. Hérac

Ér

odie, qui

fait un prix pour

Héraclès. Ne crois point que je sois si sympathiqu

iétudes restèrent suspendues à ma langue

j'ouvris les porte

entrer, boire

éraclès si fort

nd plaisir, mais nous n'avons guèr

blème et merci de

ail, attendant Héraclès, qui ce dernier restait figé à me toiser de ses belles prunelles d'émeraudes. J'éta

ès, appe

ros se mouvèrent mais je ne compris pas un mot de

oufflai-je timidement ma

ur. Ils s'éloignaient côte à côte, en une d

falai dans le canapé. Sans cesser de le caresser, je repensais à ces nouveaux visages. Je me remémorais t

étais dans le flou. Le visage de mon grand-père était oblique sur moi, l

s... qu'as-t

toutes les plaies, boursouflures et

! m'excl

ui,

papy. J'ai dû fa

ur un imbécile. Ne te

ouai l

n je m'en s

grand-mère nous avait appelés pour dîner. Tout en t

te pas papy.

grinç

rais peu à peu dans ce trou noir, quand mon téléphone se mit à sonner. À tâ

ais m'excuser pou

tte, tremblante, p

mise dans une galère, ou p

vraiment désolée. Si tu s

mblait

-tu fui comme

uer les Zonnes sans craind

er comme des malpropres ou nous disp

qui circulent. On dit qu'ils p

alement. Je n'aurais

avons des torts da

isons ça

nne

ne nu

nombreux visages défilèrent. Arnaud, Charly, Héraclès, Éros, Valérie, Alain et Kawasaki. Chacun sur

ieds, je descendais sans réveiller mes grands-parents. J'entendais les ronflements qui provenaient de leur chambre. Je pris le temps de siroter un verre de lait, de grignoter une b

s déjà

prête à

llo

as l'air d'

ai simplemen

oment où les gens étaient sur le point de se réveiller. Au plus tôt à l'aube. Nos pa

li Mélo co

ux-tu que ça

ne. Je ne sais pas. Peut-être parce que tu as fait un plong

gie, dis-je pointant

ata de

a tête. Tu ne m'auras pas ainsi. C'est

ais au milieu d'une baston, d

rais jamais cru cela venant de toi, blagua-t

sai les

ne me connais

petite cabine, faisant aussi office de r

Ala

avant de s'esquiver

omber à la mer au

son expression ahurie, t

a le patron d

volte

triage avec

ert m'enlaça dans ses

t vas-tu ? Qu'as-

bien, le rassu

patron. Leurs lèvres bougeaient mais aucun son me parvenait, sauf le hurlement du vent, les vagues se jetaient sur la coque du bateau, le c

nt de programme. Tu

a Yan, d'un hausseme

l'ordre

ça, grog

r, contre attaqua Alain, en pointant un in

u as un faible pour Méli Mélo, que tu fera

pas de quoi

te. Allez, Yan, va travailler avec Jean Luc et

ersonne, encore moins à lui. Lié pour l'éternité à celui d'Arnaud. Il s'était brisé en mille morceaux le jour où Arnaud perdit la vie, alors qu'il était si charmant, si gentil, compréhensif. Il avait toute la vie devant lui. Je triais l

prenait-il

u me suis co

compre

croire que tu ne

C'est pour

besoin de ga

vais suivi comme aujourd'hui, il y a deux

ais probablement pas revu Héraclès et j'aurais pas connu son pr

i, on referait le monde, souffla

chasse, signalant l'heure de retour a

ton protecteur. Parce que si je vena

ne déclaration ? m'

e sera ce q

des plus charm

otection et tes déclaratio

ais

que tu me fiches la paix et arrê

caisses pleines de provisions fraîches. Yan sauta sur le quai pour amarrer le navire. Alain vexé ne me parlait plus. Et c'était t

is p

n'y a pa

le bateau s'empa

lançai-je, l

dirent d'un