itre

eux. Le regard de Gabriel, dur et troublé, ne la quittait pa

nt de céder à la peur. Une ombr

s confidences maintenant ? demanda-

e soit. Son passé lui appartenait encore, même si

entement sur sa peau, traçant une ligne invisible de sa hanche à son ventre. Son toucher était

ment dissonant. Cette femme n'était pas comme les autres. E

long de sa poitrine. Ses mains se refermèrent sur les siennes, les immobilisant contre le

t lui brûlait la peau. Elle voulait lutter, protester, mais s

te, son regard incan

frôlant ses lèvres. Il esquissa un sourire, une ombre de provocation au

jusqu'au cœur. Elle se mordit la lèvre, étouffant un cri. Gabriel, amusé, obse

n oreille. Tu pensais pouvoir me cacher des

Elle gémit de douleur - ou de plaisir, elle ne savait

mais une autre part d'elle refusait de le voir reculer. Son es

a vérité, s

, rassemblant le peu de c

-moi que tu ne me chasse

comme s'il venait d'entendre une langue oubliée. Sa mâcho

e cela ? Tu m'as of

us qu'elle ne l'aurait cr

lle par confesser d'une voix br

cit aussitôt, son regard s'

effacée, ajouta-t-elle dans un souffle, sa mai

e inspiratio

i demain. Je te rembourser

le coin des lèvres de Gabriel ne se sou

s pas, Amélie, c'est qu

lla les yeux

e que tu v

son visage du sien. Et toi, tu as conclu un marché avec moi, souviens-toi.

ute qui se dégageait de lui. Ses doigts caressèrent la pe

elle portait, le passé qu'elle fuyait, le danger qui la suivait. Mais les

a mâchoire avant qu'elle n'attire son visage contre le sien. Leurs lèvres se retrouvèrent, plus har

pondant à son audace. Il la plaqua contre lui, ses mains enserra

simplement du désir - c'était une force plus ancienne, pl

une pensée s'im

ie. Même si tu veux fuir, je