vue d'Anj

e, le monde extérieur derrière les vitres teintées ressemblant à un film dont je ne faisais plus partie. L'avocat, un homme au visage bienveillant nommé Arthur, avait tout

ström de choc et de chagrin. Père. Le mot était u

e rugissement des moteurs du jet une force physique, mon ancien téléphone – celui que

te, mon pouce a gl

Chloé, mais elle n'était nulle part en vue. La chambre était impeccable. Il a bala

qui me semblait autrefois un foyer. « Je prends juste des nouvelles

facile, si rodé. Ça m

e, Hugo », ai-je

xpression une pantomime parfaite de regret. « Je te promets que j

. L'anniversaire d'un mari

andé, les mots ayant un goût de

pour moi. Si jamais je te trahissais, je mériterais de tout perdre, d'être frappé par la fo

é son visage, le visage que j'av

-t-il dit, envoyant un baiser

ai tendu à l'assistant d'Arthu

sans rêves, d'épuisement pur. Je me suis réveillée au d

eresse tentaculaire et ultramoderne creusée dans le flanc d'une montagne, surplomban

ce mais nerveuse. Mais ses yeux... ses yeux étaient d'un bleu étonnamment familier. Mes yeux. Il se tenait là, me regardant, so

, sa voix rauque par man

en un raz-de-marée de sanglots. J'ai avancé en titubant, et il m'a rattrapée, ses bras étonnamment forts alors qu'

laboratoire qu'il croyait ne pas être un accident. Craignant pour ma sécurité, il m'avait cachée, mais les personnes chargées de veill

soutien inconditionnel. Il était furieux contre Hugo, sa rage protectri

première fois depuis des jours. « Il a pris mon trav

ssinant sur son visage. « Tout comme ta mère

oppeuse fantôme au casier judiciaire. J'étais Anja Chevalier, héritière d

société écran sous mon nouveau nom. Hugo, dans son arrogance, ne s'était jamais soucié des détails juridiques. Il avait laissé toute la propriété intellectuelle au nom de «

de me préparer pour mes

s avantages d'avoir un père milliardaire qui partageait ma passion pour la vitesse et l'ingénierie. J'avais besoin de me

dû jouer de ses relations pour savoir

t. « Je voulais te faire une surprise. Un petit divertissement pour notre anniver

s notre vie, de faire comme si tout cela était parfaitement

un mot, me dirigeant directement vers le pod de simulation. Je me suis atta

é Hugo, sa voix métallique à trav

rs, la dynamique du véhicule, le code lu

. Il a froncé les sourcils, son langage corporel se raidissant. Il s'est éloigné de quelques pas, le dos tourné, sa voix un faible m

tal-risqueur impitoyable qui m'avait

es souples silencieuses sur le sol en béton poli. Je me suis déplacée dans l'omb

a fusion est à un stade critique. On ne peut pas avoir son passé qui refait surface

les paramètres. Un petit dysfonctionnement. Une frayeur. Assez pour la faire avorter. Un accident tragique. Elle sera dé

e s'est

. C'était une tentative d'

c qui a brûlé tout vestige d'amour, toute parcelle de doute. Il n'

née au simulateur, mon visage un masque de fureur glaciale. Je me suis

emandé, sa voix retrouvant

bouton d'initialisation. Le pod a pris vie, la verr

ie sur l'écran clignotait, affichant des erreurs critiques. La route devant, un col de montagne dang

tements

par heure. L'impact a été une explosion virtuelle de lumière et de son qui m'a secouée jusqu'aux os. Dans le m

s, mes bras entourant mon ventre, une tentative fu

nde dans l'obscurité, c'est la voix d'Hugo, empreinte d'une fausse panique, criant mon nom

la tirant derrière lui, la p