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Historique

Chapitre 2

Nombre de mots : 1398    |    Mis à jour : 30/09/2025

ette

it chaud, quelque chose qu'il avait l'habitude de faire quand je

? » demanda-t-i

silencieuse, bl

n'ai pas bougé. Ses yeux, pleins d'un chagrin contrefait, ont rencontré

tériliser pour élever l'enfant de votre amour

a. C'est la meilleure solution pour

Ces mots étai

n ? » ai-je deman

'affaires impitoyable qu'il était. « Alors, nous ne pourrons pas nous marier, Juli

m'a saisie à la poitrine, si intense qu'elle m'a fait haleter. Il était prêt à jeter tout c

acilement de mes lèvres. J'avais besoin de temps. J'avais

s'est penché pour m'embrasser, mais j'ai tourné la tête, et ses lèvres ont effleuré mes cheveux. « Je sais que c'est difficile, m

Les mots ne sig

r », ai-je dit, la voix c

ste hoché la tête, posant le verre de lait sur la ta

lait, symbole d'une attention qui n'avait jamais été réelle. J'avais envie

doucement. Mon cœur s'est serré. Je pensais que c'était

rouver Chloé, un petit sour

position », dit-elle, les yeux brillants. « J

visagée. « Que v

uste m'assurer que tu comprenais bien la situation. Tu vois, ce bébé... » elle a fait une pause, laissant

ne vague de nausée m'a submergée. C'était comme un coup

en qu'une partie froide de moi

un bouche-trou. Un joli petit bouche-trou pratique jusqu'à ce qu'il réalise qui il voulait vraiment. » Elle s'est penchée plus près, s

d'une rage si profonde qu'elle menaçait

nerfs. « Bien sûr. » Elle s'est éloignée en se dandinant,

de moi. Les appels tardifs qu'il prenait dans une autre pièce. La façon dont son bras s'attardait sur sa taille une seconde de tr

ient frère et sœur. Ils étaien

début. Une vérité si laide, si tordue, que je ne m'étais pas autorisée à la voir. Penser

tenait là, le visage déformé par la colère. « Qu'est-ce que tu as dit à C

ma version des faits.

s'est installé en moi. La douleur était toujours là, une dou

e dit, ma voix égale. « Je le

éclatant de soulagement. « Oh, Juliette. Mon c

ée dans ses bras. Je suis restée raide

, sa voix étourdie par sa victoire. « Demai

t attendre », ai-je dit, ma voix toujours étrangement calme. « La santé de Chloé est la chose la p

oration. Il pensait que je faisais preu

baiser, qui ressemblait autrefois à une promesse, me semblait

il, son visage un masque de choc. Elle ne s'attendait pas

ras d'Arthur. « Puisque Juliette se sent mieux, on peut aller faire d

e me regarder. « Juliette, tu viendras avec nous.

mille heureuse était nauséabonde. Mais j'ai hoché la tête

nt et chuchotant comme un vrai couple. Je les suivais, un fantôme invisible. Nous étions censés acheter des vêteme

e désespoir tranquille, à regarder l'homme que j'aimais en aimer une autre. Une douleur si vive et soudaine m'a sais

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