pit
fermement le verre de vin dans sa main. J
rré mon frère dans ses bras.
ne, bientôt nous pourrons nous marier. Mon
mort, comment réagirait-il ? Serait-il triste ? J'y ai réfléchi et j'ai décidé qu'il ne le serait probablement pas. Nous n'avions pas eu de cont
devant lui, perdu dans ses pensées. Je me suis dirigé vers le bord de la piscine et j'ai remué l'eau avec ma ma
qu'elle avait quelque chose à me dire. Je gardais mes distances, méfiant à l'égard de ses intentions. Elle a délibérément parlé fort et m'a montré des photos de robes de mariée, me demandant d'en choisir une. Je n'ai pas répondu. Elle s'est alors mise à pleurer, me de
a sauver. Mais moi, je ne savais pas nager. J'étouffais avec l'eau, incapable de parler. J'
J'ai failli me noyer. Un passant gentil m'a sorti de là. Quand nous sommes rentrés à la maison, mon frère a été
n suffocante de l'eau qui remplissait mon nez et ma bouche, ainsi que la douleur brûlante dans
orti, j'étais déjà évanoui par asphyxie. J'étais à deux doigts de la mort. Quand je me suis réveillé, j'ai eu l'épisode le plus grave de m