de vue de

battante. C'était le moment le plus misérable de ma vie. J'étais allong

hevilles étaient fer

se briser. Même respirer était extrêmement douloure

é à voix basse : « Connards

entêtée. Continu

ma menace et ont continué à

ous allaient-ils me battre à mort ? Si je m

ef qui s'était dévoué corps et âme pour sa meute. Comment avaient-ils pu le trahir ainsi ? Un Alpha qualifié n'aurait pas dû être

que je tremblais de partout. Je devais viv

issance sans précédent

clouaient au sol. Me levant, j'ai frappé l'un d'entre eux. Simultaném

en même temps pour abattre tous les

cement, mais j'étais capable de me battre con

éci mes yeux sur eux. Leur si

jours vous battre

oque à ce moment-là, je pouvai

nce qui venait de jaillir de moi dépassait de loin celle d'un loup-garo

esclave, et elle est toute seule maintenant. Comment pourrions-nous ne pas la vaincre ? » L'un des loups-garous ne

au loin. Il s'est envolé à plus de dix mètres avant d'atterr

x d'Alpha Norman qui étaient remplis de choc. À côté d'A

pâle, comme s'il

isage inexpressif, si ce n'est qu'il me re

Anthony ; j'ai regardé dans ses yeux profonds et je lui ai demandé mot pour mot : «

ai fait de mon mieux pour gard

e la laissez pas souiller vos yeux ! », a crié Alpha

sisté. En gardant les yeux fixés sur le Prince Anthony, j'ai demand

ince Anthony a final

ant. Intimidés par son aura, le groupe d'O

s j'essayais au mieux de conserver ma dernière tra

.. » Je ne voula

. Je devais participer aux

nce Anthony avec indiffére

a phrase, ma bouche s'est engourdie, et mes paupières sont deve

nce, j'ai vaguement senti un

dans une étrein