tait peintre en bâtiment, un homme simple, du moins c'est ce que je croyais. Il m'a laissé

puis l'enfance, me tenait la main. Son visa

la seule solution. Tu ne pourras jamais rembour

s mots que dans ma vie passée. Une vie où je l'avais écoutée. U

qu'une cicatrice. J'avais renoncé à l'héritage, et les créanciers s'étaient tou

e suffoquer. Mon désespoir. Ma folie. Pour tenter de le sauver, j'avais vendu notre petit

s plus tard, devant une vieille télévision grésillante dans le dortoir, que j'ai découvert la vérité. Un reportage sur les magnats de l'i

fant illégitime de mon mari et de ma meilleure amie. Ils avaient tout planifié. Sa mort, l

apper de cette usine-prison. J'ai couru sous la pluie battante, j'ai grimpé sur u

is. Sophie est assise en face de moi, son regard plein d'une fausse inquiétude, me

nveillance. Je sais que le créancier, un homme qu'on surnomme le "Faucon", est le

encore sur ma peau, le cri de Léo encore dans mes oreilles. Cette fois, je ne fui

es ? Il faut signer,

elle, un calme glaci

i réfléchir