i ce nom ne représentait rien de plus qu'une lignée de petits commerçants sans ambition. Quand je suis née, après Chloé, la déception
chec, la deuxième bou
première, celle qui avait fait d'eux des parents. Ils projetaient sur elle tou
personne ne me demandait comment s'était passée ma journée. On ne parlait que de Chloé, de
on", mais par apprentissage. J'avais appris
e son ombre puisse avoir quoi que ce soit qui lui appartienne. Si j'avais un nouveau jouet, il finissait "accidentellement
ction, m'avait offert une petite poupée de porcelaine. Elle était magnifique, avec une robe en dentelle
due rire dans notre chambre. J'ai ouvert la porte et je l'ai vue. Elle tena
it avec un sourire cruel. « Ta
! » ai-je supplié, les larme
andé en la balançant encore p
chée. J'ai entendu le bruit sec de la porcelaine qui se brisa
ant, alertée par le bruit. Elle a vu Chloé avec son
asse encore ? » a-t-
t. « Elle a jeté sa poupée et maintenant elle pleure. Je lu
hé à savoir la vérité. Ell
ices ! Tu sais combien ces choses coûtent ? Tu e
agrin et mon injustice. Chloé, depuis le seuil de la porte,
parents la croyaient toujours. Ils ne voulaient pas voir sa méchanceté. Ils voulaient croire qu'ils avaient une fille
'officialiser un rôle que je jouais depuis toujours. Il m'avait re
elligence accrue, c'était une clarté de perception. Je voyais les schémas, les motivations, les faiblesses. J
grande erreur. Ils continuaient à jouer une vieille partie d'