isage de Manon a été i
es yeux, qui quelques secondes auparavant débordaient de larmes de crocodil
ait le regard qu'elle avait eu dans cette
concentrés sur la négociation avec l'oncle et la tante, qui éta
ndait l'oncle Robert, se frottant les mains. «
s la même pièce qu'elle. L'air semblait
marmonné. « J'ai beso
ulée d'air frais, essayant de calmer les tremblements de mes mains. Mon plan fonctionnait, mais le danger était p
Ma mère, toujours un peu mal à l'aise mais soulagée qu'une solution soit trouvée, hochait la tête. L'oncle et la tante
portunité en or. La tragédie de
ardait le sol, mais je sentais son regard sur moi à tra
ssion sembla terminée. L'oncle R
rès généreuse. Nous acceptons. Nous nous occupe
érie ? Tout s'arrange. Tu iras vivre avec ton oncl
Manon a joué s
ession de panique et de peur. Elle a couru vers ma mère, l'ignorant complèt
ras, ses doigts s'enf
e d'une terreur simulée. « Tu ne sais pas comment ils sont ! Ils sont méch
des larmes de rage et de frustration. Elle essayait une dernière fois de faire appel à la piti
té. « Léa, peu
et un frisson de dégoût m'a parcourue. L'image de sa main sur mon tub
son emprise, fermeme
elle, qui me regardait
e. « Tu n'entreras pas dans cette maison. Tu
est tombé complètement. La peur a lais
es dents, assez bas pour que seuls nous deux puissi
e et a suivi l'oncle et la tante qui la pressaient de partir, imp
efermée derrière eux, un silenc
ception et l'incompréhensio
fait le bon choix, Lé
ais une chose : la bataille n'était p