f de la police est venu me chercher à mon bure
la mairie. Sophie va parler. Tu viens avec nous. T
une voiture de service. Le trajet s'est fait en silence. Dehors,
s, des curieux. Sophie était déjà là, sur un petit podium, l'air angéliq
murmure hostile a parcouru la foule à ma vue. Je me sentai
la main. Son con
» a-t-elle chuchoté pour que seuls le
r une question à laquelle seule la vraie Jeanne, la Jeanne de la vie passée, pouv
'on me tendait. Mon c
sses la mémoire. L'affaire du "Poète de la morgue", il y a deux ans. Tu te souviens ? Tu avais trouvé le dernier poème, celui
rendu public dans son intégralité. La réponse n'était pas dans mes pens
onde. Un éclair de pani
voix a éclaté
grat
, s'est frayé un chemin jusqu'à la scène. Son visage était rouge
sement, m'a giflée. La claque a résonné dans les h
Comment oses-tu humilier publiquement la seule personne qui a
ée à la douleur de la trahison. Le profess
. Un sourire de pur triomphe. Elle s'est
ilence", » a-t-elle dit d
la bonne
lle pouvait lire mes pensées présentes, mais elle pouvait aussi p
l'intervention du profe
nteu
hors
e à vo
heurtée à l'épaule. Les officiers ont eu du mal à contenir la fo
et les insultes pleuvaient sur moi, une idée fo
ensées... que se passerait-
us, si je ne réfléchis plus à des affaires
i
et inutile que ce que tout
forme. Je l'ai jetée par terre. Le bruit métallique a su
t Sophie droit dans les yeux. « Je ne suis plus capitaine
e, traversant la foule hostile qui s'écarta
e. Je venais de perdre ma car
je me sentais libre. Le jeu venait de chang