de Sophie s

donc un peu avec nous !

a commencé à me tirer vers l'intérieur du studio. Son contact éta

i-je réussi à articuler,

e ça ! » a-t-elle insisté

seuil de la porte. Sophie, au lieu de me retenir, a lâché mon bras au dernier moment. J'ai perdu l'équilibre et je

é un cri aigu et s'est effondrée à côté de moi

Ma che

ds. Il n'a même pas jeté un regard dans ma

tu fais ?! » a-t-il hurlé, son

'aidant à s'asseoir. Monsieur Henri était juste derrière lui,

-je bégayé, en essayant de me r

à pleurer doucemen

voix tremblante. « Je suis sûre que Jeanne ne l'

te maladroite et elle, pour la victime magnanime. La manœuvre était si évide

grondé Pierre. « Je l'ai v

voix brisée par l'injustice. « C'est

approché de moi, son

que tu as fait. Sophie est

pis de danse souple. Une chute comme celle-ci ne pouvait blesser personne. C'éta

puissance. Personne ne me croyait. Personne ne voulait me croire. Ils av

relevé la tête à ce moment-là et m'a regardé par-dessous ses cils humides de larm

e l'avais

plus tôt. Je voyais le sol se rapprocher à une vitesse vertigineuse. Je voyais le visage de Pierre, non pas inquiet pour moi, mais déjà

n rouge imaginaire, le rouge de mon sang et de ma souffrance. La panique m'a sa

e la chute, l'iris, l'accusation... tout se mélangeait en un tourbillon de trahison. C'était la même h

t sans comprendre. Mon corps tout entier était secoué de spasmes incontrôlables. J'étais en train de r

-