iante pour Céline. Ma grand-mère était repartie dans son manoir
n ombre, un geôlier impito
Mademoiselle M
de bonne où Céline était confinée. Céline devait se lever dans le froid,
s repasser à la perfection. Elle devait m'aider à faire ma toilette, à coiffe
d'orange ou à ramasser ma cuillère "accidentellement" tombée. Elle mangeait les reste
iente, jouer le rôle de la gouvernante dévouée, tandis que je prenais un malin plaisir à être une élève di
femmes de chambre pour le nettoyage et le rangement. Elle, qui avait fréquenté les conservatoires
s-là que sa vraie nat
ques plus anciens. Mais il y avait une nouvelle venue, une jeune fille de la ca
La buanderie était faiblement éclairée. Céline venait de renverser un s
ine lui a donné un coup
arde où tu mets les pie
in qu'elle contenait toute la journée. Amélie, en larmes,
vec tes mains.
de pitié pour Amélie, non. Mais une froide confirm
clarté douloureuse, comment elle avait agi. Elle venait me voir, les larmes
é si méchante avec moi. Elle dit que je ne suis pas as
tout le monde. Il a dit que je n'étais qu'
mie, son seul réconfort. J'allais voir mon père, je piquais
édait.
re et a été renvoyé. Quelques mois plus tard, j'ai appris qu'il avait eu un accident de voiture mortel. À l'époque, j'avais pleuré sa perte comme celle d'u
ans ma chambre, le
moi était
me que tu verseras, chaque humiliation que tu subiras, tu ne les devras qu'à
er. Je vais te laisser t'enfoncer. Et quand tu penseras