e visage, comme une reine reprenant possession de son royaume. Pierre l'a accueillie avec une chaleur évide

e dynamique familiale qui s'installait en bas. Les rires de Sophie

chose qu'elle a faite a été de se débarrasser des quelques objets que Jeanne avait choisis au fil des a

s'assurant que Jeanne, dans sa chambre, puisse l'entend

t était comme un effacement de sa propre existence dans cette maison

a droite de Pierre. Elle riait, racontant une anecdote, et Pierre l'écouta

ée de passage. Personne ne lui a adressé la parole. Elle était une étrangère dans sa propre salle à mange

des goûters avec leurs amis. Mais Jeanne voyait les détails. Sophie ne préparait jamais les repas elle-même, elle donnait des ordres aux domestiques. Elle ne s'o

ne maîtresse exigeante et capricieuse, bien différente de la discrète et gen

cris de panique. Elle s'est précipitée à l'intérieur. Louis et Chloé étaient assis sur le canapé

ambulance, sa voix tendue par la peur.

ils ont mangé ?

doigt un bol de f

e savais pas qu'ils é

vers Jeanne, ses yeu

acheté ces mangues ! Tu savai

oué la tête,

savais pas. Je

euré Chloé, entre deux quintes de toux. «

ureusement, les larmes cou

C'est

lanciers sont arrivés et ont emmené les enfants en urgence. Jeanne est restée là, figée, le cœ