ombres dansantes sur les murs, et l'odeur du coq au vin que j'avais passé l'après-midi à préparer emplissait l'air. Ce soir, j'a
te en métal froid. Ce n'était pas le tire-bouchon. Poussée par la curiosité, je l'ai ouverte. À l'intérieur, un livret de famille. Je l'ai ouvert, les mains tremblantes. Une photo de mariage m'a
e s'est
enu en mémoire, un appel d'u
ologique expérimental. Nous commencerons la procédure la semaine prochaine, avant que votre m
J'étais orpheline. Mon seul lien, l'homme que j
ourde, brûlante. Sans réfléchir, je l'ai sortie et l'ai jetée par la fenêtre ouver
de beauté si particulier près de la lèvre, exactement comme le mien. C'était une ressemblance frappante, presque dérangeante. J
ectement à son domaine viticole en plein Paris, un endroit qu'il utilisait comme bureau. La porte de son b
sur pattes. Carole ne peut pas avoir d'enfant, sa santé est trop fragile. Mais Juliette... elle lui
le ? Tu comptes en
. Personne ne voudra d'elle après moi. Elle me se
c qui me terrifiait, cette peur de ne pas vivre assez longtemps pour me marier... tout cela n'était rien comparé à cette d
euses que j'avais installées, j'ai renversé les bougies, j'ai jeté le coq au vin dans l
omposé le numéro de l'institut suisse
. Je confirme ma participation.
s une porte de sortie. Une façon de mourir, de