s l'air. C'est un endroit que j'aime, un refuge. Ici, je ne suis que Chloé, une étudiante en art parmi d'autres
es semaines, ce refuge
re, venue d'un coin de campagne que personne ne connaît. Au début, j'
je ressens
maine dernière dans une petite boutique du Marais. Ses cheveux sont attachés de la même manièr
tails, des coïncidences. Puis c'e
approche de mon chevalet. Il est charismatiq
ble. La lumière que tu
s, un pe
i, Jul
r, une collection de croquis de Delac
s'accélèr
dorer
. Elle se penche pour les ramasser, le visage rouge. Nos regards se croise
œuvres. L'ambiance est feutrée, intime. Nous parlons
oix familière
, quelle surprise d
à la mienne, mais le tissu est synthétique et mal coupé. Elle s
e sur un voyage en Italie, un souvenir lié
tends Manon parler à un
e tableau du Caravage, que
ont changé. La nausée me monte à la gorge. Ce n'est pl
r a déjà fait son chemin, propagé
Même ses histoires personnelles. C'est pa
son air de victime, a gagné leur sympathie. Moi, la fille discrète, je de
es poings dans mes poches