enir. L'épouser semblait le choix évident, l'amour de ma vie. Je me voyais déjà
uipier, prétextant devoir la "protéger". Il m'a laissée en Alsace, enceinte de notre fil
id en cherchant du bois, et mon fils, Léo, atteint d'une maladie rare, suffoquait. J'ai vendu un rein pour le soigner, en vain. À mon retour
e : je me suis réveillée. Mes mains étaient intactes, mon fils et sa
jamais. Je ne verrai pas mon fils mourir. Cette fois, je ne vendrai