française. J'avais posé l'urne sur le siège à cô

ma tête, c'était les sept dernières

iant en commerce, mais il semblait fasciné par mon monde, celui des parfums. Il ven

messe". Une fragrance fraîche et boisée, comme une balade dans les

reprendre les affaires familiales. J'ai tout qu

arence. Mon petit atelier a été remplacé par un coi

r notre avenir », avait-il dit. « Je suis meilleur en gestion, lai

naïve. J

ait : « C'est joli, mais ça ne vaut pas un Chanel. » Mes vêtements, choisis dans des

es courses, pas assez pour un billet de train pour aller v

nfiance en moi, en mon talent. Il m'avait transformée e

ait derrière moi. Pour la première fois depuis de