img Les 99 Étiquettes Brûlées  /  Chapitre 1 | 7.69%
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Historique

Chapitre 1

Nombre de mots : 1804    |    Mis à jour : 20/06/2025

ois et Ant

ns de

ur immense, une

èbres. Son père, Jean-Jacques Dubois, veuf, était un homme influent, très attaché à sa f

is, un nom qui comptait. Initi

s avaient un

x-neuf étiquett

que étiquette conservée précieusement.

t dans un carnet

est arrivée dans

cture. Issue d'un milieu modeste, elle se

cé à parler d'el

étendue "pureté",

esque timide. Elle semblait f

it, un doute com

a changé. Subtilement d'ab

blessante, un oubli cruel,

ttes, témoins

e lui est venue.

son de son mari, elle b

par

silencieux vers la f

e serait son secret. Sa ma

e anniversair

. Un dîner spécial dans l

ttendu.

Tard. Sa voix étai

a besoin de moi pour un proje

. Aucun regre

e seule dans leur

nce éta

uvert le

Un Saint-Amour. Leur pr

gts tre

llumette. La flamme

cendre de

res soirées gâchées. D'

nt, une à une, dans le

etites et grandes. Des mensonge

enaient de Bourg

nt a éclaté. B

iture a toussé, pu

campagne isolée

Fiévreuse. Elle gre

Antoine a sonné

j'ai tellement peur du tonnerre. Je sui

lie. Son visage pâle.

ive tout de suite, Man

re. "Attends-moi ici. J'

elé. Il est parti

nt des heures, sous la pluie

finalement trouvée,

l'étiquette numéro trente

i robuste que ce v

Antoine était distan

s leur appartement

de la cheminée, trônait

te, un cadeau de maria

t dans le salon, el

ait avai

rchitectural. Une esquisse de M

entré, un ca

on. C'est tellement inspi

r le visage d'Amélie. Ni

leurs. Avec Manon

te-douze. Un Meurs

ibre de papier se consumant était u

était e

l bijou qui lui restait d'el

ncien, mon

informée qu'elle passait en vent

eter à tout prix. Son

enir. "Je serai là pour

un mauvais p

osphère était f

it là. Comme

ôtesse d'accuei

était professionnel, mais ses yeux brillaie

, Manon s'est approchée de la vi

longuement. Un pe

Un sourire impercep

en vente, Jean-Jacques a co

toine a retenti. Une

ncore une autre. De

son beau-père, avec u

médusée. Son père était

la broche. Pour une

n silence d

pris la broche des main

e. Il s'est tourné di

alent mérite d'être récompens

Amélie anéantie, devant son père fur

et de surprise. Se

. je ne peux pas accepter. C

e fausse humilité. Ses ye

n geste grandiose tombait à plat

es épaules. U

ersonne n'

de Drouot. Le

Antoine s'est arrêté. Il

mélie. Un défi

c, il a jeté la bro

a hurl

parapet. La broche avait dispa

mère. Noyé. Par l'homme

antes coulaient

murmurant des mots de

batelier sur une pénic

long du quai, cr

! Ma broche ! E

on portefeuille. "Je vous donne

au visage buriné, a semblé

bilement. Il a u

un petit objet brillant es

culée de vase

ait contre son cœur. Elle pleur

atre-vingt-quinze a brûlé.

dres et de larmes. Il ne re

nt une ombre. Elle devenai

comprendre la duplic

ition froide, une envie maladive

ure. Pour des "conseils urgents".

ssages à Amélie. Des messa

e moment. Il a besoin de soutien. V

vous n'étiez pas bien. Je m'

nter Amélie contre Antoine, tout en se po

ns le panneau. Elle voyai

le a étalé les quelques étiq

papier. Les derniers ve

que tu as fait. Reg

s. Puis il a souri. Un sourire

ique, Amélie. Ce ne so

souvenirs !"

près d'elle. "Manon, c'est... un j

Amélie. Toi seule. Mais j'ai besoin... d

vendiquait son droit à

Comment pouvait-il être

le, la plus faible, la plus dése

u souvenir de l'hom

e étiquettes. Quatre c

on chez eux. Sous s

raison irréfutable pour just

té d'A

éclaté. Pour une brouti

grand escalier en marbre de

e dos, prête à mont

uivie. Sa voi

'écoutes

ée par le bra

dans l'escalier. Un

. Elle a perd

ches froides. Une. Deux. P

urante dans la j

noir. L'

les yeux, Antoine é

ichait une inq

! Que s'est-il pas

e parler. Aucun

peux pas rester seul

Un sourire

r s'installer ici. Pour s'occupe

e se re

plus profonde que celle d

grimaçant de douleur à chaque mo

re-vingt-seize.

a fumée noire empl

ernières chances. Ou trois dernier

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