. La procédure était simple, administrative. Un poids s'est enle

t la tempête, peut-être, mais aussi le calme d'une décision prise. J'ai préparé un café, je me sui

jeté son sac sur le canapé. "Antoine, tu n'as pas préparé le dîner ? Manon a fa

n était calme, factuel. Elle m'a regardé, surprise par mon détachement. Une pointe d

! Mieux que Papa !" Encore une pique. J'ai soupiré intérieurement. J'

. "Je vais me reposer." J'ai quitté le salon, les laissant à leur

ompagne en Polynésie. C'est mieux pour Manon, il s'entend si bien avec elle. Et puis, c'est un excellent médecin, ce sera rassurant."

mer. J'avais passé trois jours et trois nuits à son chevet à l'hôpital, mort d'inquiétude. J'ava

hait un compagnon pour elle-même. Julien était là, disponible, attentionné. Il co

nation l'a surprise. Elle s'attendait peut-être à une di

ue de réaction. "Oui, je suis d'accord. C'est ta décision." J'ai tourné le dos, mettant fin à la conver