La femme, une diablesse souriante.

e très calme. Dans la grande villa qui servait d'habitation

hef de l'entreprise, il était à la recherche d'une jeune fille très belle qui pourrait intervenir dans la publicité de ses nouveaux

était constamment à la recherche de l'amour. Après avoir déjeuné, Oscar se leva et alla rejoindre son chauffeur qui l'attendait au dehors. Il monta dans la voiture et demanda au chauffeur de le conduire au siège de son e

n'est toujours pas là. Cela commença par énerver Oscar qui décide de l'appeler sur son numéro privé. Il prit donc son télé

par être de plus en plus en

er pour l'école. Alors monsieur le directeur veui

ouvé la fille qui fera l'affaire ?

ra là d'une minute à l'autre.

qui interviendra dans la publicité. Au bout de cinq minutes, le téléphone de Rosine

our R

ur, commen

e suis

s. Je viens

accompagnée d'une jeune fille très belle et éblouissante. Elle était très sublime comme les rayons du soleil. Te

stant où il les a posé sur cette fille. La jeune fille qui suivait

elle, un ange, elle une fée, elle une sirène, elle une rose, elle, pour la qu

fit signe à la secrétaire et la fille de prendre place. Il n’arrivait toujours pas à dég

je vous prés

ur, dit

, répondit Astride

nt alle

n mon

e mis au courant du travail

Mons

e dans l’entrepr

ci mo

la marque. Faites lui comprendre qu’à partir d’aujourd’hui ce sera la photo de madem

ntendu m

nfance. Elles avaient grandi ensemble et avaient étudié dans la même école. La différence d’âge ne posait nullement de problème entre elles.

tait toujours devant lui. Oscar, après trente minute, prit alors son téléphone de service et appela la secrétair

is là m

vous vu

mons

il finit de me les

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i, comment vous avez r

nous connaissions d

elle fait quoi

n’a pas encore trouvé de travail fixe. Elle s’occupe e

a un di

mons

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rendez-vous est pré

us avec les adminis

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