pit
arquable. Ils sont également de redoutables prédateurs, que les Holens
ofesseur à l’Ac
bservés. « C’est beau», pensa-t-il. Il cligna des paupières pour reprendre ses esprits. La chaleur lui piquait les yeux. La mémoire lui revint comme un coup de poing en pleine poitrine. Tard dans la nuit, des créatures de ténèbres, se mouvant dans l’obscurité comme des f
lus d’une trentaine d’années. En quelques secondes, son cri glacial s’évanouit dans la nuit. Son corps s’effondra sur les pierres taillées qui constituaient la place principale. Sans vie. San
, chuch
a moitié du village avait été réduite en cendres, et l’autre brûlait encore. La pluie ne semblait pas
yci
sa droite, détournant la créature du prince. Taryl en profita pour continuer ses recherches. Il aperçut sa sœur derrière un tonneau,
nt son nom. Il s’accroupit et
, regar
son frère. Elle tenta de parler, mais les mots restèrent figés au fond de sa gorge. Il l’obligea à le regarder dans les
-nous-en
pleins d’espoirs. Mais pas ce jour-là. Ce jour-là, il se contenta de se lever et tendit une main vers Lycia. Elle le reg
*
œur d’un arbre, si titanesque qu’il faisait assurément partie des plus anciens arbres du continent d’Orya. Quand la lune était haute dans le ciel, sa lumière éclairait l’intérieur de l’arbre par un trou en son sommet et se posait sur le cristal des Dieux Jumeaux. Les rayons de lumière se dispersaient ensuite dans la grande antichambre où était placé le cristal. De toutes les pierres précieuses
travers les arbres, en direction de Delyn, la capitale Holen, sans ralentir. Elle avait toujours admiré ses capacités physiques hors du commun. Il avait la force de plusieurs guerriers Holens et
s, chuchota-t-elle
a à genoux dans la boue. La pluie avait
nous arrêter maintenan
r autour de lui et s’acc
pas en sécurité i
Lycia était à bout de force, il le voyait bien. Il se retourna et lui fit signe de
ol ? Impossible. Trop de créatures sauvages vivaient dans cette partie de la forêt. Quelques minutes plus tôt, il avait aperçu des empreintes de Traceurs, profondes et parfaitement dessinées. Ces créatures possédaient des becs acérés et
geur de leurs branches. En revanche, il était difficile d’y grimper, leur tronc presque aussi lisse que du verre. Taryl réflé
ir m’aider à mont
s inaccessible, avoua-t-
on pas le choix. Il s’avança vers le viei
t Taryl. Je vais devoir te
rs sa rude asce
ge lui fit perdre l’équilibre et Lycia le força à s’asseoir à ses côtés. Elle l’observa pendant quelques minutes, le regard chargé d’inquiétude. Sans pouvoir prononcer un mot, il lui fit signe qu’il allait bien, avant de s’écrouler sur le dos. Ses pieds dépassaient légèrement de l’épaisse branche et surplombaient le vide. Il posa ses deux mains sur sa poitrine et s’efforça de calmer les battements de son cœur. Lycia se leva et regarda autour d’elle. La forêt était sombr
*
vait pris un peu de repos. Il tourna la tête vers Lycia, qui pointait du doigt l’horizon. Croyant qu’elle avait aperçu une bête sauvage ou un m
, murmu
deux Holens un spectacle à couper le souffle. Il leur restait encore quel
ais de ce paysage, affi
les ramenant à la réalité. Un petit oiseau les fixait, la tête penchée sur le côté. Taryl a
pouvoir nous faire desc
vide qu’avait laissé la disparition de la magie. Il s’accroupi
sée. Je peux d
buta sa descente, choisissant avec préca
du soleil en direction du Nord-Est. Ils marchaient depuis plusieurs heures, quand un bruit résonna à leur gauche. Taryl adopta une position de défense et Lycia saisit une branche sur le sol. Ils restèrent silencieux quelques secondes, puis trois Holens s’avancèrent vers eux d’un pas prudent. Lycia lâcha la br