pit

nt. L'homme étrange. Le milliardaire. Victor. Son nom résonnait dans son esprit, mais cela n'avait aucune importance. Ce qu'il voulait vraiment d'elle, cela non plus, elle n'en avait pas la moindre idée. Il y

s étaient devenus des chaînes, des clés qui n'ouvraient plus rien. Chaque syllabe prononcée par sa bouche avait un goût amer, une couleur ternie. Elle préférait se taire, de tou

ences. Et, dans ce silence, elle sentait une étrange pression, une attirance qu'elle ne comprenait pas. Elle se détournait

nse. Si elle ne parlait pas, il ne pourrait pas l'atteindre. Il n

s. Juste un mouvement imperceptible, un geste qui lui disait qu'il savait déjà ce qu'elle allait faire. Qu'il la laisserait fuir, mais qu'il la

r. Elle était venue s'asseoir à l'autre bout de la pièce, son corps tendu, cherchant à gard

» avait-il demandé, la v

ait qu'elle était brisée. Il savait qu'elle avait peur. Il savait qu'elle ne voulait pas parler, qu'elle n

ite. » Il avait laissé une pause, comme pour la laisser réfléchir. Puis il

lle s'était levée brusquement, comme si la chaleur de son regard devenait insupportable. Mais il ne bougea

il savait. Et ç

demandé d'une voix basse. « Pourquoi re

ion. Une compréhension qu'elle n'était pas prête à accepter. Il n'avait pas répondu immédiatement, il avait pris

me le dire. Parce que tu sais, au fond, que tu n'es pas prête pour ça. » Il avait

u'elle-même ne comprenait pas ses propres émotions ? Il ne la connaissait pas, il ne savait rien d'elle, mais il semb

avait pas couru après elle, il n'avait pas cherché à la rattraper. Il l'avait suivie du

l a un prix. Mais tu n'es pas p

it pas envie de dévoiler sa douleur, sa solitude. Elle avait toujours cru que la parole ne servait à rien. Mais lui, il avait fait naître un doute. Peut-être que parler pouva

ble de lutter contre la lueur de tristesse qui s'était empa

avancé, assez proche pour qu'elle puisse sentir sa chaleur, mais assez loin pour

rendit compte qu'il n'attendait pas qu'elle parle pour la compre