s accoudoirs, les yeux fixés sur le plafond. Son esprit tournait à toute vitesse, épiant chaque détail de cette confrontation. Viktor avait laissé son empreinte, et pas seulement en brisant sa po

l voulait la faire plier,

ement ce qu'il a

rester là indéfiniment. Viktor avait laissé des hommes sur ses traces, et il reviendrait, encor

oin de la pièce, y cherchant une valise usée. Elle l'ouvrit, prenant quelques aff

de. Elle se figea. Des voitures. Viktor n'avait pas tardé à envoyer ses hommes. I

ait par expérience que, dans ce genre de situation, la première erreur serait de p

le l'avait préparé en cas d'urgence, un modèle discret, sans rien qui attire l'attention. Elle savai

était mesurée, comme un souffle d'air dans la nuit. À l'extérieur, la pluie con

is à droite. Aucun signe des hommes de Viktor. Elle était encore en sécurité

pidement dans la voiture et démarra sans hésiter. La direction était déjà choisie : un

Elle savait qu'elle n'était pas encore hors de danger. Viktor, ou ses hommes, pouvaient être partout. Elle n'avait

rrait pas la suivre indéfiniment, pas sans laisser de traces. Et pendant ce temps, elle trouverait un moyen de frapper là où ça ferait mal. L'argen

repôt. C'était un endroit idéal pour se cacher pendant un moment. Il n'éta

mobile, elle écouta un instant. Rien. Le bruit de la pluie bat

lle savait que tout cela n'était que temporaire. Viktor allait la retrouver

e, illuminant les vieux murs poussiéreux. Ce lieu, à la fois abandonné et menaçant, semblait être un havre de tranquillité comparé

t, c'était la certitude que Viktor ne la laisserait pas partir si facilement. Elle ne l

t qu'elle avait gagné une bataille, mais la guerre n'était pas terminée.

se remit immédiatement sur ses pieds, son instinct de survie prenant le dessus. Elle n'avait pas beaucoup de te

se battre. Elle se tourna vers la porte, prête à faire face à ce qui v