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Historique

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1419    |    Mis à jour : 29/09/2021

uation devenait plus qu’embarrassante, je décidais de partir d’ici. D’une conversation avec Len

d’une heure, que tu viens me parler. Tu ne l’as pas

veux pas que tu restes seule avec lui, ce

t pas ? Toi, restant loin de moi ! Toi, restant av

plus de pe

vahissait, et je détestais ce sentiment. Je ne voulais pas être heureuse de le voir à nouveau seul, mais c’était plus fort que moi. Ce n’est pas pour autant qu’il avait le droit de faire d

mandait Lenon, surpris. Au mo

eut-être aller la voir aussi ? Bien qu

utain ! lui

réaction de ma part. Il restait là, à me fixer quelque

me fixant toujours, se demandant sans do

our toi, pour vous, d

ent malgré tout dans ma tête. Il a dit qu’il avait rompu avec elle, c’est donc lui qui a mis fin à leur histoire, un peu comme avec moi. Il s’amusait avec les filles, c’était son passe-temps ? Attendr

t ce que tu

désolée pour

m’en

, comme

rprenais même à avoir de la peine pour cette Lisa. À l’époque je lui en voulais à elle, de me l’avoir pris, mais avec le temps j’avais compris que le vrai fautif, c’était lui. Je détestais avoir de l’animosité envers quelqu’un, je ne voulais pas de ce sentiment dans ma vie. Mais avec lui, c’était plus fort que moi, plus fort que to

emandait-il, fixant son

lui dire ce que je pensais, pour

iments. C’est ce que tu es, après tout. Un homme sans cœur. Je retire ce que j’ai dit, je ne suis pas désolée pour vous. Je suis jus

regardait surpris par tout ce que je venais de dire. Depuis le temps que je voulais lui sortir mes quatre vérités, je ne pensais pas le faire ce soir, ni même un jour d’ailleurs. Je l’avais toujours imaginé, dans mes rêves, dans m

arles, Stella ! hurlait Travi

le, intervenait Lenon. T

i ! criait-il en les regardant. Il faut dire que nous étions retirés du reste de la fête, du coup, le peu de personnes autour de nous pouvait nous enten

aison dans le fond, disait Leno

cas, pas assez longtemps pour parler d’une histoire. Tu t’en fous encore pl

ritait pas ce que tu lui as fa

bien ! Pas besoin

de ping-pong. Chacun se renvoyait la balle et j’étais spectatrice de tout ça. On parlait quand mê

ici, disais-je,

Attends, je ve

etard de six mois. Tu as perdu le droit de me parl

t Lenon en dévisageant Tr

avoir à faire avec lui. Sous prétexte qu’il n’était plus avec elle, il revenait pour me parler ? Soudainement, il avait envie de discuter avec moi ? Non merci, j’avais assez donné ces six derniers mois. En jetant son sweat, même si c’était juste un geste symbolique, j’étais censée

à Monica pour la pré

brouille Lenon-Travis et moi, demain je

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