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Historique

Chapitre 3 Les survivants 1

Nombre de mots : 1820    |    Mis à jour : 24/09/2021

uand tout ce à quoi on avait cru, se révèle être sans fondement, complètement dépassé, ne reste plus que nos plus bas instinct, nos

e, ce quoi qu'il en coûte qui d'une personne à une autre, sans lo

ebout, après tout ce que la nature leur avait infligé, rest

s plus vile facette de l'humanité se montrer à la face du monde, de ce besoin de chaire quitte à dévore

ar se lever, irrémédiablement, que ce soit sur la plus magnifique rose du jardin ou encore sur la mauvaise

jour après l'autre. La proie tentant sans cesse d'échapper à son p

bé, une fois l’innommable réalisé, mais pour d'autre

s survivants qu

ant doucement, elle travaillait dans une école, avec des enfants en difficultés phys

ue sa sœur et son frère s'y trouve aussi mais rien que le voyage fut une épreuve et lorsqu'elle arriva dan

imaux, elle s'avança. Dans ces souvenirs, ces pas étaient lents, très lents, un

à où elle devait se rendre, où elle allait la trouver. Ce monde et sa nouvelle face lui avait déjà montrer bien des atrocit

comme dans ces pires crainte, sa mère à l'agonie aux mains de deux hommes

de réagir, pas plus que d

sans même sourciller et sa mère, couverte de plaies, tremblante de fièvre e

mère dans leur jardin, près de ces massifs de fleurs qu'elle aimait tant regar

urna, là où ils partaient en vacances lorsqu'elle était petite, tout en espérant que le chalet soi

s plus que sa grande sœur Julie, personne, sauf quelques créatures san

le était seule, se tenant loin de tout, continuan

s déjà autant de morts la nature à cru bon de continuer avec des tremblements de terre de plus en plus violent, sans parler des Tsunamis puis des tempêtes de neiges ou encore des températures si élevées que les constru

ls avaient pu connaître avant n

'une zone de guerre

jouer avec ces frères et sœurs étant enfant, elle profitait des premiers rayons de soleil qui s'était fait bien timide ces derniers jours. Dénouant ces cheveux, elle ferma les yeux, profitant de cette dou

ua pas Lucas dans son dos et sursauta

e un peu le sole

cigarette, c'est l'une des rares choses d

, sourit en se trouvant envahi d'une bouffée de bien être. Il ferma les yeux lui aussi

u qu’aucun membre de sa famille n'avait mit un pied en dehors d'un pavé de la ville depuis des siècles. Pur produit d

s véhicules, klaxon, la lumière discontinue des éclairages publique ou des devantures de magasins. Rien qui n'aurait pu le préparer à t

e de lui même si il devait bien avouer qu'il aurait préféré qu'elle n'ait pas à le changer et à lui faire sa toilette. De toute façon, ça n'avai

eule mais d'un autre côté, lui aussi avait pu voir de ces yeux ce dont l'homme était

fumée s'échappant de ces lèvres à peine entre ouverte. C'était sans conteste une très belle femme avec des formes harmonieus

eux incapable de comprendre ce que veux dire non, ceux incapable d'envisager à q

oucement ava

je te doi

quoi. Tu te s

is devoir utiliser un bâton durant quelqu

peu avant d'aller le chercher histoire d'être sûr de pas faire d

tu n'as pas

u ne me voulais pas de mal il

a aurait été normal. Avant

en enfer avant que ça commence al

traversé la moitié du pays Pauline, j'ai vu ce qu'il se pas

x alors que Charlie vient se blottir contre elle.

ité que je n'avais pas

ois par année, en plein été et pour Noël. Une résidence perdue en pleine forêt, sans aucune protection contre la nature, les prédateurs. J'ai montée des clôtures, réussit à ramener deux panneaux solaires pour alimenter des détecteurs de mouvements ainsi que le f

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