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tombée la veille en début de soirée. Caressant le visage des trois hommes, la lumière réveillait chacun des êtres qui à leur rythme habituel se préparaient p

certaine forme de chaleur. La vie devant eux, ils continuaient à écraser le monde. Cependant, après l’appel des moutons, son nom résonna dans la pièce, mais aussi dans l’esprit du couple. Ce fut comme une apparition : une singularité ici prése

ruit assourdissant du lave-vaisselle, ils se regardaient ignorant le reste du monde. Ensemble, droit dans les yeux où une majestueuse flamme illuminait le regard de chacun, entre ces deux idoles se dressait un miroir qui n

ère fois le garçon aux cheveux blond et celui aux cheveux bruns se heurtèrent du regard, bien qu’ils se connaissaient de réputation et par le biais de leur ami commun, ils venaient enfin de mettre un visage sur l’idé

dans la ville, l’agitation urbaine se calmait faiblement laissant place à un glacial silence. Chacun des hommes av

me flamme qui s’était éveillée la veille prenait vie et commençait à s’élancer tel un cheval à travers les immenses plaines de l’infini où l’obscur horizon cache les tristes vérités. Le mortel à la chevelure brune venait de pénétrer dans la chambre de son ami. Sans se soucier de l’avenir, les deux garçons échangeaient et partageaient de chaleureux souv