pit

ion. Luna releva les yeux de son livre, son regard se fixant sur l'horloge du salon. 22 h 48. Ethan était encor

trée. Quand Ethan apparut enfin, il avait l'air épuisé. Ses épaules s'affaissaient légèrement, sa cravate était dénouée, et une ombre inquiétante alourdissait son regard. P

da-t-elle d'un ton neutre, croisant l

considérait la question avec méfiance. « Oui, désolé. Le travai

fum floral flotta dans l'air, coupant sa respiration. Ce n'était p

le brusquement, le suivant dans le sal

s ralentissant imperceptiblement avant qu'il

timètres de lui. Elle tendit la main e

pas le tien. Ce n'est

ête et de poser sa veste sur le dossier d'une chaise. « Probablement quelqu'un au bure

la pour l'instant. Elle étudia son visage, cherchant une faille, un aveu non verbal dans son express

ie que c'est simplement...

es. « Qu'est-ce que tu veux que je dise, Luna ? Je travaille d

t ni défensif, ni conciliant. Juste fatigué,

luent quoi exactement ? » demanda-t-elle,

niers temps. « Je n'ai pas l'énergie pour ça ce soir. Les réunions, les rapports,

'impression que tu me c

. Ethan détourna le regard, secouant la tête avan

uoi est-ce que tout doit devenir une interrogation ? Une suspi

e dans l'art de retourner la situation, de la faire se sentir c

s non plus à comprendre. Tu rentres tard, tu évites mes questio

Tu veux quoi ? Que je te dise exactement où j'étais à chaque minute de ma journée ? Que je

vant lui. « Non, mais la confian

par le tic-tac distant de l'horloge. Ethan finit par détou

er. On en parlera

comme une accusation silencieuse. Lorsqu'elle entendit la porte de la salle d

pas une coïncidence. Ce n'était pas simplement « rien ». Isabella. Ce nom flottait dans son esprit comme un p

saisit la veste qu'il avait laissée en bas et la porta à son nez. L'odeur était là, subtile

êtu de son pantalon de pyjama et d'un t-shir

-il, visiblement agacé. «

Explique-moi, Ethan. Parce que je ne suis pas stupide,

ui fais une montagne de rien. J'ai déjà expliqué. C'est le stress, le travail, les heure

rmal, toi ? Tu rentres tard, tu sens un parfum qui n'est pas le tien, et tu t'at

nfiance, parce que je n'ai rien fait de mal

pable de me regarder dans l

mme un masque. Il posa ses mains sur ses ha

Tout est sous contrôle

ce qu'il disait. Il se détourna, la laissant seule avec ses doutes e