assise à côté de Nathaniel, jouait nerveusement avec le rebord de son manteau. La route vers la campagne semblait s'

ança Nathaniel en tournant brièvement s

rd pendant une fraction de seconde avan

réfléchissais, répond

anda-t-il, sa voix

elque chose à dire qui soit

. Je suppose que je n

sincère, qui emplit l'habit

Mais parfois, il faut savoir s'éloi

le se demandait si ce week-end ne créai

-

ds descendre sur ses épaules. L'endroit était idyllique, presque irréel, avec ses volets bleus et ses fleurs sa

it-il avec un

t sur le gravier, et inspira profo

murmura-t-elle, sinc

liqua Nathaniel, son ton l

gard. Elle n'était pas habituée à recevoir ce genre de compli

-

et son odeur de bois brûlé. Nathaniel s'était visiblement préparé : une table était dressée p

marquer Marisa en s'asseyant doucement su

ime rien laisser au hasard, répon

harmant et attentif, posant des questions sur ses goûts, ses rêves, ses idées. Et Marisa, malgr

es que j'ai rencontrées, déclara-t-il

te, ses yeux renc

nte ? Com

ressionner, vous ne jouez pas de rôle, dit-il en riant

avait qu'elle aurait dû être flattée, mais au lie

-

que Marisa et Nathaniel faisaient en ce moment, mais c'était impossible. Chaque minute qui passait ajoutait à son anx

t-elle à voix haute, se parlant à

mais elle se retint au dernier moment. Cela la ferait paraître désespéré

-

ta, bien qu'elle soit nerveuse à l'idée de passer encore plus de temps seule avec lui. Les ray

e ? demanda Nathaniel

préciser qu'elle n'avait pas eu l'occasion

sur le chemin de terre. Puis Nathaniel s'arrêta soudainement, se t

ois vous avoue

ait-il sur le point de

basse mais intense. Depuis notre première r

r. Elle ouvrit la bouche pour rép

ez la même chose ? demanda-t-il, son regard scrutan

d d'elle, une vérité qu'elle avait essayé de nier remontait à la

-

on d'émotions. La culpabilité, l'amour, la peur... tout se mélangeait dans so

pé, les bras croisés. Dès que Marisa p

Ça s'est b

ans répondre, évitant

insista Maryse, son ton

ssé, finit-elle par rép

e semblait pa

u'il a dit ? Qu'es

, dépassée par

d'imp

prochant de sa sœur comme un

dit-elle

es yeux, son regard f

l est temps d'a

aryse resta figée, incapable de répondr

antes ? Tu veux tout

poings, rassemb

lui, ni pour moi. Je ne peux

, avant de se mettre à ri

e tomber amoureuse

regard, incapable

n visage à quelques centim

r tout ruiner parce que tu as des é

te, une étincelle d

e disais

e laissa échapper un ricanement, mais so

ça, Marisa, t

-

thaniel lui revenaient en tête, mêlées à celles de Maryse. Elle se sentait d

pouvait pas continuer ainsi. Il fallait qu