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Historique

Chapitre 5 No.5

Nombre de mots : 1724    |    Mis à jour : 16/09/2021

avait pour bras les régions des cieux, celui dont l’angoisse métaphysique le faisait être f

e l’horizon. Il ne sourcillerait aucunement devant le dévoilement d’une vérité qui viendrait à sa

C’était écrit

célestes gravitant à la perfection dans un champ de lumière, lu

re blanche balayée par des vents qui l’invitaient à p

ussières et de gaz, précédée d’un halo de lumière insoutenable, irradia de toute sa magnificence les confins de l’espace. AZO res

vre. Ses boules minérales, nichées chacune dans leur écrin, tournaient ensemble dans une harmonie presque insolente. Sa dernière création, celle qui devait il y a bien longtemps lui poser quelques problèmes était toujours là, bien arrimée à ses aînées. Avec l’âge, elle

mme aux reflets uniques dévoilait à l’envi ses strates d’un jaspe san

itation pour voir si les créatures mutantes des eaux et des airs, qu’il avait jadis chassées, avaient bien dispar

ntreprit d’écarter d’un geste de main, les quelques écrans de brume qui couvraient les cimaises originelles qu’il avait lui-même façonnées… en son temps. Il remarqua alors, sous les écumes d’une source d’eau claire, un minuscule

t procédé à l’extinction massive d’une faune avilissante ! Était-ce ça le prix de l’évolution du vivant ! Une construction ! Quelque chose de pensé. Ce lieu frémissait, mais que cachait-il ! D

nant encore et encore. Il rêvassait en se disant qu’un jour dans cet endroit il planterait un de ces arbres qui donnaient un liquide gras, tout près d’une bâtisse qu’i

allaient chercher dans une étendue d’eau proche, d’une mer sans vie qui fournissait également du sel, était relevé d’une immense murail

rges, resterait à tout jamais le lieu qu’il protégerait, s’il le fallait au son de chofars, si un jour une nouvelle catastrophe devait s’abattre sur l’œuvre de ses œuvres. Il étai

résentaient des énergies venues d’ailleurs. Il grimaçait devant cette forme de fétichisme, cette façon de sanctifier des objets. Tout cela n’avait selon lui, aucun sens. À mi-chemin entre agacement et indifférence, il laissa aller les choses sans en prendre ombrage pens

rs. Il lui fallait faire l’apprentissage de la célérité s’il voulait ne pas perdre des instants de création ou tou

e contusions et de dilemmes moraux. La seule pensée de revenir vite l’exaltait et lui fais

d boule

Il savait qu’il savait assembler des matières et les faire se déployer dans l’espace, mais il savait qu’il ne savait pas encore se créer des aventures, car jamais une de ses compositions ne lui en avait racon

, un solitaire qui cherchait dans son conscient son rêve transitionnel, un oublieux qui se

’anéantir avec une masse d’adâmâh, les créatures démoniaques qui le torturaient. Et ces autres qui pullulaient là-bas, étaient-elles

lança-t-il dans une gestuelle emphatique et menaçante. Ils sont créés de ma poussière, ils sont la sublimation de mes erreurs, ils sont ma descendance. Nous y v

ssait jusqu’à plus soif, l’inan

hysique inégalable. Un géniteur ! Il fallait qu’il aille rencontrer, avec d’autres yeux ces êtres, ces ish comme il disait, qui devaient da

dérait comme son apanage, ce jardin qu’il avait tant aimé, ces eaux qui se nourrissaient de cette montagne des douleurs qu

ervait dans une indiscrétion gauche et assumée, lorsqu’ils se retrouvaient, au petit jour dans des lieux de vie et à la tombée du soir dans des milieux de dépravation, pour adorer fébrilement les An, les En

couvrit que ces ish appelaient tour de potier, ces instruments qui, tournant à la force des pieds permettaient de fabriquer avec précision de grandes quantité

ue moulée qui servait de chartil et de logis à une famille nombreuse, des jarres décorées

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