commencé à me suivre, mon quotidien s'était transformé en une succession d'instants troublants et tendus. Ce matin, cependant, l'atmosphère

ant avec une expression mêlée de curiosité et d'agacement. C'était comme si elles savaient quelque chose que j'ignorais. D'habitude, mêm

re ne te touche. » « Rien ne m'empêchera de te garder. » C'étaient des mots simples, mais chargés d'un message fort et terriblement intimidant. Ces mots n'étaient pas signé

curiosité dévorante. Comment pouvait-il oser se comporter ainsi sans même me consulte

l aux petites notes et fronça les sourcils. « C'est Nathan, non ?

n moi. « Je vais aller lui parler. C'est inac

tait jamais bien loin. Et en effet, en me dirigeant vers l'arrière du lycée, je le vis, adossé contre

pable de masquer l'énervement dans ma voix. « Ces

et une pointe de défi. « Je ne joue pas, Lyana. Je voula

iquai-je, croisant les bras, tentant de mainteni

capturant les miens sans détour. « Que tu m'appartiens. Que personne d'autre ne pe

avaient quelque chose de profondément envoûtant. Mais je ne pouvais pas

terminée. « Je ne suis pas un objet, je ne suis pas quelque chose qu

n train de me parler, en train de me tenir tête. » Il se pencha légèrement, rapprochant son visage du mien,

algré moi, je ressentais cette étrange connexion, ce lien inexplicable qui me poussait vers lui. Et plus

plus douce, moins assurée. « Je ne comprends même pas ce que tu veux dire p

moment où je t'ai vue, tout en moi a changé. Il y a quelque chose en toi, Lyana, quelque chose qui m'attire

se sentait irrésistiblement attirée par lui, qui voulait explorer cette connexion. Mais l'autre pa

lai-je, presque pour moi-même

s chercher à comprendre. » Il tendit la main, effleurant mon visage du bout des doigts, et un frisson parcourut mon échine. « J

cette étrange chaleur, à cette proximité troublante. Mais je me ressaisis. C

e, reculant légèrement, brisant le c

is il hocha la tête avec une résignation douce. « Je comprends.

intense, presque brûlant. « Je te donnerai le temps qu'il faut. Mais sache que

s comme une promesse et une déclaration de guerre. Une part de moi voulait fui

rononcé. Une part de moi, malgré toutes mes réticences, se sentait... attirée, piégée dans une toile invisible et irrésist