img Le misterieux milliardaire  /  Chapitre 4 Chapitre 4 | 6.78%
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Historique

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1327    |    Mis à jour : 27/09/2024

icago. Beau avait réussi à semer le doute en moi, à me faire craindre d'

gages et on file d'ici, » me di

éo lève la main pour appeler un véhicule. D'abord, je pense à un taxi, mais quand une vieille camionnette blanche cabo

o. Il a ce look typique du surfeur, avec son corps mince, ses cheveux en bataille, et ce sourire détendu. Un short de surf et

oupé des vagues de dingu

répond Théo en rigolant, tout en s'app

ésente Simon, » di

ous les tropiques ! C'est t

la première fois,

s maladroite. Il est sympathique, le genre de gars qui te met à l'aise instant

plage. L'idée a un certain charme. Je suis même des blogs de gens qui ont choisi ce style de vie. Mais honnêtement, je su

n retour. Une grande maison avec suffisamment de place pour qu'on ait notre intimi

bien me ten

vaient nos sacs à l'arrière. Le bruit métallique du haillon me ramenait à la réalité, ma

de, malgré moi, me faire rougir, s'élevait dans l'air épais du terminal. Je soupirais en pivotant pour

voir filer sans

çais les sourcils, sur

de l'avion si vite pour q

je ne veux rien de toi. À part, peut-être, des e

i. « Je te devais un billet en classe éco, n'est-ce pas ? Un billet à m

la camionnette, un sourire radieux étirant ses lèvres.

que j'ai senti une petite vague de colère monter. Théo ne méritait pas qu'on

» dis-je d'un ton sarcastique, mes yeux plongeant dans ceux de Beau. Il y avait une lueur brûlante dans son reg

oche une épaisse liasse d

me si une partie de moi aurait bien voulu

le. « Il est milliardaire, Lil. Cet argent, c'est rien pour lui. » Il se retourna vers B

l pas compris que prendre cet argent me donnait l'impression de perdre une sorte de bat

n'est pas grave, Lil. On a des frais pour s'inscrire

mais j'avais imaginé qu'on attendrait d'avoir une certaine stabilité avant de

ange d'ironie et de satisfaction, comme s'il savait quelque chose que je n'avais pas encore compris

au. Une femme élégante en sortit, dans la cinquantaine, ses gestes assurés.

nier coup d'œil à Théo, puis à moi, comme pour sceller sa victoire personnelle. Il

i ? » demandai-

lleul de ma grand-m

a. « C'est un connard riche et solitaire, » plaisanta Théo, passant son

jaillit du terminal et s'approcha de lui. Je ne pouvais pas entendre leur échange, mais je la vis lui tendre une carte. Elle effl

rien voir, cherchant dése

Théo en m'indiquant la cami

Oui, la vie avec Théo serait sûrement imparfaite, mais elle aurait au moins l

t ici ? », s'étonne Simon en regardant le manoir devant nous. Mo

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