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Historique

Chapitre 5 Florence

Nombre de mots : 1450    |    Mis à jour : 24/06/2021

il de la porte, tel un colonel qui s'assure que son jeune sergent ar

sieur

ion. Ni agit

mée à double-tour. Il a peut-être perdu connaissance, est tombé dans

de spéculer. Il est simplem

l'autre côté de la porte, je tombe sur le répondeur. Je raccroche sans laisser de message. Il ne les écoute pas. Je regar

bsent, soit i

*

près des personnes âgées, c'est pourquo

ail passé chez M. Bergès. Cela fait un

Parmi eux, sa voisine, une gâteuse passée de mode avec qui il partage jar

ion d'une inconnue lui était détestable. De surcroît, tolérer l'assistanat… Pourtant, limité dans ses mouvements, il s'était trouvé contraint d'accepter... Faisant preuve d'une volonté admirable, j'avais été témoin jour après jour de son rétablissement. Vétéran

rides rectilignes de son front. Son phrasé était brusque, constitué essentiellement de bougonnements. Il m'avait i

er. Sa façon de me mettre à l'épreuve, en m'imposant de replier le linge après le repassage, ou en vérifiant par-dessus mon épaule si je par

ter. Arrivant cinq minutes en avance, avec le journal ou des croissants frais, et pré

capables, il avait fini par capituler et par admettre mon sér

enirs : ses débuts à l'armée, où un jeune caporal-chef était décédé au cours d'une manœuvre d'

ine, je me sens bien. Sereine. En confiance grâce à sa bienveillance. Ses bonnes manières. Sa r

re les mains. La décoration générale de sa maison est sommaire et obsolète. Aucune photographie de famille aux murs, mais d'abondantes peintures démodées, représentant des paysages et des natures mortes d'un autre siècle. J'envisage de temps en temps de lui proposer mes c

urieux de ma vie sentimentale. Jamais indiscret, juste attentionné. Le respect est réciproque. Comme un papa qui se soucierait de l'entourage d

fficulté. Il retient le prénom de mes proches, celui de mon meilleur ami, même ceux de mes ex – certes, peu nombreux –, et des bars que je fréquente... Quand je n'ai pas le moral, il le remarq

avec son auxiliaire. S

temps et qu'une alarme assourdissante retentissait à échéance pour nous rappeler à l'ord

on antique fauteuil gris, à parc

*

sur qui je craque un peu et que je croise depuis des mois au

mprends qu'il a besoin de s'épancher à son tour. Mon feuilleton pseudo romantique lui rappelait un événemen

comptoir, ses cheveux blonds tirés en une queue de cheval stricte. Aucune mèche ne s'échappait. Des pommettes roses et des yeux en amande. Une beauté malicieuse. Le coup de foudre. Tout simplement. Il avait rougi, et déconfit, réclamé sa baguette en quelques bafouilles, et à peine marmonné un merci poli en décampant. Aussi brave était-il en période de guerr

ez ? lui avai

re l'atmosphère. L’attirance, le coup de foudre, était donc réciproque. Elle lui app

final à ses confidences, il

plaît, il serait pe

l ne réapparaisse, le teint si bronzé que le vert de ses yeux brillait comme des émeraudes. Toutefois, malgré le conseil réfléchi de M

tai

sa part. Qu'il fasse le premier pas. Une

ga

e ne l'ai

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