de vue

me traîne pratiquement à travers les bois. Il semble connaître facilement le chemin du

e je ne répondrai pas, il commence à

iesce, tout en trébuchant sur une grosse

demande si je devrais répondre à cela. Va-

faire confiance, je hoch

isse tomber. Je suis très content qu’il se souc

vais qu’ils existaient mais pas ce que cela implique. Mes parents attendaient mon quart

ce qui crée un lien spécial entre eux », commence-t-il. « Ils ressentent des étincelles lorsqu’ils se touchent et s

s sens rayonner de sa paume en ce moment. Je le pointe du

-il assez béatement. Je roule des yeu

ogante : « Quoi ? Vous devriez être heureux d’avoir un compagnon aussi

ement, me demandant ce que

e plus à un château. Où suis-je ? Ai-je cour

Aiden me conduit dans les escaliers jusqu’à sa chambre. On d

re cuisine et son salon. C’est pratique. Me tenant toujours la main, Aiden m

ois sombre et il y a une télévision massive suspendue au-dessus de sa commode. Il y a trois portes dan

e. J’ai pratiquement bu toute la tasse d’eau, sans me souvenir

baisse la tasse de ma bouche quand j’ai fini, et attrape la main d’Aiden. J

uelque chose sur un bureau qui s

me le tendant. Je le prends avec prudence,

us ne vous sentez toujours pas à l’aise de parler »