z la loi », dit-
uoi
n enfant de dix-sept an
cl
ne suis pas un idiot. Je n’ai pas mon âge sur le front, et n’importe qui peut dire qu’il est propriétai
? »demande – t-il en s’approc
ord, je
ras. Je regarde par-dessus mon épaule, voyant ses yeux briller dans l
partir », dit-il sur le même to
ent à l’esprit que je veux soudainement
de son emprise. « J
apparaître sous ses cheveux. Il bouge avec moi, en même
ssaie de retirer ma
quand il traverse la foule avec aisance, les gens s’écartant de son chemin alors qu’il marche sur la piste
rop conscient de sa main sur le dos de mes ja
s cheveux du chemin, je vois que nous arriv
on dos, essayant d’atténuer la sensation nauséabonde de sang qui me monte à la tête. À
et mon anneau d’oreille, un mal de tête déjà en préparation. Je crie quand il me jette de son é
r, mais comme avant, il me repousse d’une ma
s sommes dans un bureau, la plupart des meubles noirs mais fantaisistes. S’il est le propriétaire, je sais que les buveu
lque chose. Quand il se retourne pour me faire face, je vois que c’est
quand je l’observe avec méf
. J’ai du mal à ne pas le regarder. Malgré la façon dont il m’a amené ici, la chale
sa main. Quelque chose sur lequel il lève le sourcil mais te
regard curieux. Comme s’il cherchait quelque chose.
e c’est censé
e un autre battement. « Cela signifie
ui. « Ai-je des ennuis ? Ne dev
Il dit. « Vous avez
ça créé de
tait rapproché jusqu’à ce que je sente son haleine chaude et mentholée sur mon visage. Je frissonne, m
e gens en difficulté »
rveusement
and
penserais ça ? Je m’éloigne de lui. Je ne pense pas droit. Tout est dans ma tête
attrape mon poignet et se tient avec
veut dire, j’arrête de respirer quand il penche la tête et met
’emb
es paupières se ferment. Poussant ses mains dans mes cheveux, il m’attire davan
mon corps, et avant que je m’en rende compte, je l’embrasse en retour. Il halète. En entendant sa réaction, la chaleur me
te en avant, il embrasse le long de ma mâchoire, et j’expire, perdant mo
ême si j’apprécie ça. Mais
s yeux, ses yeux s’ouvrent. Le cœur battant,
le sens derrière moi, se pressant dans le dos de moi. Prenant mes poignets, il les é
a façon dont il me fait me sentir est folle. C
tournant pour lui faire face. Son souffle évente
bas, je retombe quand la porte s’ouvre. Il lâche prise et je cours.
tie. Heureusement, je n’ai pas à chercher longtemps quand je vois
lub. Il fait froid et je frissonne de façon incontrôlable, mais je continue, sans vouloir m’arrêter. Je n’ai p