i lâche et de continuer à l'être. J'ai des responsabilités à assumer mais j'en suis toujours incapable surtout quand je vois tout ce q

âme-sœurs ne sont pas faites pour être séparées une fois qu'elles se sont trouvées. Et que cette douleur, en plus d'être horrible, le fatigue éno

re dans une rue. Je dois bien être capable de l'identifier à 50 mètres dans une foule ! Et si je viens seulement d'at

un groupe nommé « Les Exilés ». Apparemment des loups bannis de leurs meutes et qui cherchent à renverser le système par vengeance. Quand j'ai appris la nouvelle je me suis d'autant plus sentie mal pour lui. Si j'avais p

en plus de trahir la famille Alpha mais elle a finie par me pardon

les premiers la raison est simplement que j'avais peur qu'ils découvrent qui je suis réellement, pour les relations amoureuses, la vision d'Alex me hante encore. Je ne m

ience. Je dois avouer que j'ai dû travailler pour cette fois. Ma sœur qui trainait dans le salon en mangeant m'adresse un bref signe de tête et mes paren

er autour de moi pour m'attirer dans une étreinte. Je hoquette d

pas pos

face. Il me regarde, on dirait qu'il attend ma réaction qui ne se fait pas attendre. Je me détache de ses bras et je me dirige vers ma porte pour m'enfuir. Toutes mes belles paroles su

te. Je recule jusqu'à taper le rebord de mon lit avec le dos de mes genoux. Je ne parviens pas à détacher mon regard de son visage, pas plus que lui du mien. Qu

n'ai jamais vue alors que la mienne ne doit exprimer que la crainte. Il lève lentement une ma

is aucun mal, tu n'as pas à

e n'est pas de lui dont j'ai peur mais de ne pas me montrer digne de ce qu

me pas à supporter son regard. Il me déstabilise au plus au point, il est trop expressif et voi

et son index pour que je relève la tête vers lui. J'entrouvre les lè

ntre le mur et mon père rent

toute la prestance de quelqu'un qui se sait puissant. Dans les faits,

sur la défensive mais il r

rt plus comme un grognement qu'autre chose. Je sens tout comme mon père, que l'aura d'Alex commence à se dép

pour Alex. Il y a un fauteuil si tu veux t'asseoir. Je lui désigne celui à l'autre bout de la pièce, de cette façon, i

e pendant que je m'assois en tailleur sur mon lit, assez mal à l'aise mais je ne suis plus à deux doigts de

tu viennes av