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chauffeur, sentant une inexplicable envie

la première fois. Je ne peux pas expliquer pourquoi, mais il y avait quelque chose de f

a semblé sursauter, presque comme si elle avait peur. Avant même que je puisse l

e pesant me dérangeant plus qu'il ne l'a jamais fait auparavant. La femme

dans le silence. Je m'arrête devant la porte d'une

jouets et de petits vêtements. Au centre, se trouve un b

er à Elle. Elle aurait dû être ici avec nous. Elle aurait dû

était belle, rayonnante, avec un sourire qui pouvait illuminer même les jours les plus sombres. Et maintenan

'un souvenir sur le mur de mon esprit. Sa silhouette, d'une grâce légère et fluide, se mouvait comme Lydia le faisait. Ses yeux, bien qu'une nuance différ

is avait décidé de laisser certaines couleurs sur la palette. Comme si un artiste a

toujours capturer la lumière du soleil d'une manière magique. La femme que j'avais rencontrée aujourd'hui avai

une version alternative. Comme une mélodie familière interprétée avec des instruments différents. Une

personnes ne sont pas des chansons ou des peintures. Et je ne devrais pa

pêcher de me demander qui elle est. Cette femme sous la pluie. Cette femme qui porte en elle un écho de

*

de mes pensées, et malgré tous mes efforts pour chasser son image, je ne peux pas. Mon bureau,

j'ai demandés. D'habitude, je les feuilletterais immédiatemen

, que je regrette aussitôt. Elle sursaute mais ne fait aucu

ne franchisse la p

is d'une voix à peine audible. Elle hoche la tête, ma

l, mon fidèle chauffeur, lui demandant de me conduire à cette rue où je l'ai aperçue pour la première fois. Nous

commence à vaciller. C'est alors que je l'aperçois. Mon cœur se serre, me laissant presque sans

lle une ombre. Je ne sais pas vraiment ce que je

cache. Je sais que je devrais partir, la laisser tranquille. Mais je ne le fais pas. Je continue

ut faire pour en savoir plus sur elle, pour mettre fin à cette sensation qui me consume de l'intérieur. C'est là, dans l