n, certes pas au grand complet, car deux d'entre eux, Christophe et Sophie n'y étaient pas. J'embrassais d
tait de maîtriser leur jovial petit Roman qui allait vers sa deuxième année. Après avoir serré très fort Paula, puis Paul et enfin Irina contre moi, je pris le remuant Roman dans mes bras et poursuivis ma tournée avec lui. Je
beau petit visage, me rappelait les jeunes années de mon fils. Un peu plus loin, je vis Lydia et Violaine, mes deux petites perles. Elles étaient égales à elles mêmes, toujours aussi débordantes d'éne
e gamins, leur benjamine de sœur pour avoir tenu le secret jusqu'au bout et pour avoir permis de faire de moi la victime de leur petite machination. J'étais même heureuse de l'entendre critiqu
epuis des lustres et dont, pour certaines, je n'avais plus aucune nouvelle, mon impardonnable oubl
Paolo, l'homme pour lequel j'avais dérouté aveuglément m
ue tous les petits instants de bonheur capturés à la dérobée, d'un passé qui, en réalité, n'est jamais resté bien loin de moi. Dès cet instant, la plaie béante que j'avais passé près
démenée à occulter. Décidément, ce jour n'était pas un jour comme les autres. Les crampes douloureuses, traînées toute la journée et que ma brève euphorie essayait de so
sations fortes. En effet, au moment où je frisais l'effondrement psychique, Christophe et Sophie dont l'absence m'inquiétait, sortirent de nulle part et m'offrirent la
l'Esprit des esprits, Toi la Puissance des puissances, Toi qui créas l'HOMME et la FEMME par Amour, Toi qui les unis et les bénis pour la première fois en leur offrant Ton amour infini, Toi qui me créas FEMME, Toi qui me connus avant même qu
péché, pardonne-moi, si je me suis égarée, ramène-moi à Toi, et si tout ceci n'a rien de ta volonté, alors, mon Dieu, s
maladie incurable. Je ne suis pas née avec, oh, non !... Je l'ai contractée au détour d'une innocente promenade dans le jardin du bon Dieu, à seize ou dix- sept ans, l'âge dit 'd'or', l'âge où toutes les filles normalement