2 octo

14 jusqu’à Châtelet puis le RER B jusqu’à l’aéroport Roissy Charles

ationale, il faut se débarrasser de tout contenant de plus de 100 ml ; bouteilles d’eau y comprises. On s’installe sur une banquette dans le hall et on profite des 45 minutes pour grignoter ce qu’il reste dans nos sacs. J’avais

ofite pour faire le plein. On prend des paquets de tabac à rouler, des feuilles et des filtres pour tenir tout le mois. Je ne fume pas d

i dure 8 h 30. Pendant le trajet, on peaufi

uoi on vient en Amérique, on

nous allons dormir, on cit

eles, on répondra que le billet d’avion était moins cher pour San Francisco, qu’on va

ures au sud de San Francisco et

aites de notre histo

e file d’attente interminable. Après deux heures d’attente, on commence à vraiment stresser parce que l’embarquemen

ouper le second vol. Heureusement, les douaniers ont juste pris no

al, c’est qu’on arrive à temps ! Le temps de l’escale est passé v

ti pour le

upérer nos sacs. D’ailleurs, j’ai toujours cette appréhension que mon sac se soit perdu en chemin ; qu’il ait été déposé dans le mauvais avion ou qu’il

ion pour l’Angleterre, la Turquie, la Tunisie et l’Espagne mais c

e, c’est très stressant. À chaque embarquement, j’angoisse un peu plus. Ça devrait être l’inverse normalement mais je suis un peu tordue. Je me dis que plus je prend

permet de réaliser qu’on est tous des poussières sur cette terre et de relativiser. L’avantage sur un si long vol, c’est

ons à volonté et les repas. Lola et Nath ont pris du vin pour fêter ça ! C’est inclus dans le billet alors elles auraient eu tort de se priver. D’ailleurs, vo

ôtel et de passer la première nuit

dépenser d’arge

as la ville et il

se coucher tard et de ne pas se lever demain matin. En dormant à l’

avec des prises électriques. On cale nos sacs sous le bureau, on branche nos téléphones puis on installe notre campement. Lola et moi, on pose nos deux tapis de sol par terre devant le bureau et Nath déplace une banquette jusqu’à nos pieds. Avec Lola, on se retrouve donc entre la banquette de Nath, le mur et le bureau. Notre i