Oubliant hier pour vivre demain

ol

ion malade,

la cause de

ai le guérir

, zinkpè s

nne appét

deur dans un déhanchement pleins

u! Do

agage de tête. Elle porte mon petit frère Tundé sur son dos, ses outils dans une main et sur sa tête un fagot de bois. Elle a l’air

bo!” (salut

par chacune devant son entrée. Enfin nous arrivons. Je vais ranger le fagot de bois et ranger les outils. Je viens prendre Tundé dans le

où sont t

t avec leurs amis

père de Dotou, pour la mère on dira Dotounon) va b

perçois les jumeaux Mawuéna (Dieu a donné) et Mawuégnon (Dieu est

? Maman est déjà rentré

filles prennent chacune un balai, tandis que Sessi va prendre son seau et se lève. Je vais vérifier le niveau d’eau dans la jarre, et je décide d’en rajouter pour que papa en ait suffisamment pour se laver à son retou

unon! Do

notre père. Il s’asseoit un moment, et maman lui apporte une calebasse d’eau. Il se désaltère, et soupire d’aise. Je cours porter son seau d’eau à la douche et je rejoi

ts pour nos bons résultats. Maman apporte le dîner. Mawuena, Mawuegnon et Sessi mangent ensemble. Je mange avec Tundé, papa et maman mangent ensemble. Ce s

sur mon dos. La chaleur fait que nous laissons les portes et les fenêtres ouvertes jusqu

is vraiment pas comment

réserves de haricots

qué les réserves... Il n’

e brise en disant

on, ça va aller, nous nous en sortiron

ccord

les bagages des gens qui voyagent, et je te ferai à un p

r serré, j’aurais vou

jours p

e m’attelle à mettre de la joie et de la bonne humeur dans la maison, et les petits font comme moi. J

ans mon coeur, je prie fort que Dieu ait pitié de nous et que papa puisse trouver du travail à la ville. Je suis assise à trier les h

u’à la maison. Maman n’est pas encore rentrée du champ, mais je sens qu’elle aura une très belle surprise à son retour. Je décharge le vélo de papa, il a ramené du gari, de la farine de mais, des haricots. Je double le

joie nous habite tous. Papa nous

ois plu

plus le coeur à jouer avec mes amies, Yeba et Odile sont parties pour Cotonou la semaine dernière.

s voyageurs. Depuis une semaine maman se lève très tôt et je l’entends vomir. Ce la est déjà arrivé

nts en étant la première de ma classe. Le soleil est haut dans le ciel. Je me lève pour servir le repas des enfants, ils jouent derrière la mai

st ici que Bab

pour secouer la tête

t toi

d’igname à déraper et son chargement s’est renversé sur

es hommes le couchent là. J’installe la nourriture des enfants, j’appelle Mawuena et lui explique que je dois aller

ir paniqué, on sent qu’elle réalise que quelque chose ne va pas. Elle laisse Tundé et cours

.... Maison....... Gr

glot, j’entends

à Tundé puis rentrez au village

Je ne sais pas pourquoi, mais je sens

ines p

ngé. Il a fallu le soigner, à l’hôpital. Malgré cela, il marche toujours avec difficulté, porte des bandages à la poitrine, à la jambe et à la cuisse. Il ne

restées une semaine entière et ont entamé nos réserves de provisions. J’ai remarqué que maman mangeait très

e parle, et moi

choix... Il nous fa

s très bien ce que

enfants, bientôt 6... Il nou

érir, ça va

tu n’a pas de force, bientôt le temps des récoltes.

Aie confia

st triste. Je m’occupe des petits pour ne pas qu’ils sentent ce qui se passe, mais tout le monde est impacté par la situation. C’étai

sidu est la clé

vers elles pour ne pas qu’elles s’approchent de la chambre des parents, car chaque conversation comme celle-là ce termine souvent par les pleurs

nfants. Et en plus ils sont orgueilleux. S’ils avaient déjà placé

rra bien combien de temp

mes soeurs

’est plus comme avant dans cette famille. Nous avons mangé en silence et fait nos corvées avant d’aller nous coucher

2 à l’externat St Paul) le directeur annonce les classements. Il commence par les enfants du CPi (Cours pré

leur annoncerai la nouvelle. Je suis contente de nos résultats car ils éloigneront un peu la tristesse de la maison. J’espère

e nos pieds foulent le sol de la cour nous sommes stoppées net par le spectacle qui s’y déroule. Une réunion de famille se déro