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Historique

Chapitre 5 No.5

Nombre de mots : 1474    |    Mis à jour : 31/07/2023

r. Le trajet Piau-Engaly – Royan se faisai

osé, Éric et Bertrand chez eux avant de rentrer à la mais

t-elle aux enfants,

s petits se disputaient l’hon

ieurs fois dès le premier jour

en pour ça que je ne veux pas

tagne chez les grands-parents. Elle était rentrée la veill

e chambre pour y passer la soirée. Nous nous séparions tous les ans en une « une rupture bénéfique », comme j’aimais le souligner. Pour moi, les éloignements ponctuels étaient le gage de l’équilibre d’un couple. Éviter l’aliénation à l’autre et augmenter les querelles dues à la proximité continuelle, les vacances permettaient de retrouver son moi et de se libérer des contraintes de la vie en couple. Débarrassée des tics p

’attiraient. Renforcé par la présence de mes amis, je l’abordais. Nous fîmes connaissance et depuis ce jour, nous ne nous quittâmes plus. Et le mariage, pour lier définitivement notre u

dormissent pour faire l’amour comme

nt perturbé le cours de mes habitudes et le soir je trava

o de la femme de ménage occupait. En rentrant, je la saluai et me précipitai vers mon bureau. Je triai par ordre d’importance mes messages et lut mon courrier. Une heure plus tard, Jean-Paul, le directeur, frappa à ma porte et me salua. Il m’invita à prendre un café. Nous parlâmes de tout et de rien et surtout de la météo, introduction rituellement nécessaire et préalable à toute discussion. Jean-Paul, glissa une pièce dans la machine, composa le numéro du « café court sucré » et après quelques secondes d’attente, me tendit ma tasse. Pendant que nous dégustions le contenu de notre gobelet, l’ent

tu te souviens du projet

Ou

ppel d’offres. Comme c’est toi qui as préparé la réponse a

en charge !? rép

je ne voudrais pas que cette vente nous passe sous le nez. Écoute, j’aimerais

le faire, j’ai du travail en reta

pour nous. Tu es dix fois plus expérimenté que Franck. Ne t’inquiète pas, il est au courant. Je lui ai pa

ck partage le bénéfice de la vente, mais je demandai à le voir avant de prendre ma dé

sponsable commercial, mes succès m’avaient rapporté le poste de directeur

, mais là, le directeur n’avait pas agi comme il aurait dû. Je retournai voir Jean-Paul en tentant de me dégager de cette affaire, mais rien n’y fit. Et pendant l’entretien que nous eûmes tous les trois, Franck abdiqua devant son directeur et je n’osai non plus intervenir, laissant la responsabilité de la décision à

arlai de l’af

à Franck ? d

roidement. Il n’étai

ision de Jean-Paul, mais tu pourras l

as ra

ne grandissante à qui voulait bien l’entendre. J’essayais à moult reprises d’associer Franck au travail, mais celui-ci ne comprenait pas mon objectif. Malgré mes tentatives d’explications, il se fermait à tout d

direction du centre-ville et stationnai près du front de mer. Je longeai la plage désertée des touristes dont le vent, par rafale, entraînait avec lui le sable fin. Les mouettes jouaient avec la crête des vagues en les frôlant. La couleur du ciel menaçant contrastait avec la teinte bleu

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