eurtrier. Quand je me tourne à demi, pour voir qui me fix
uka, ma détestable demi-sœur, est assise à une tab
aki
petit ami…
horrible sœu
e le mette d
ment dans le bol de ma demi-sœur qui fait tout un cinéma à présent, sans doute pour me rendre j
de me parler de ce chat abandonné qu'elle a recueilli et qu'el
uveau coup d'œil en direction de Shizuka et d'Osamu. Sa mâchoire se durcit. Non, mais regardez ce yarô (connard) qui est aux petits soins avec sa ch
nous y voir… Mais je crois bien qu'elle avait déjà remarqué notre présence. Elle met
pointe d
an… ? Est-c
nous étions aussi pr
tre surprise? J'avais laissé un message à la résidence de mon grand-père, pour leur signifier la date d
comédie devant Osamu comme
voir le rôle de la mé
. Osamu a toujours eu un teint très délicat. Il a aussi de longs cils et un visage très gracieux. Il est même très pop
oko va en augmentant. Elle pose ses baguettes avec fracas. Décidément, il faudra qu'elle pense à parler au gérant! Parce que ce restaurant n'est plus ce qu'il était! Ils laissent même entrer de la
ve à mon tour, prenant ma sacoche et ma veste sur le dossier de ma chaise. Hors de question que je rest
les joueurs de ma demi-sœur qui fait mine de s
rmes de crocod
ine résonne dans
vé si vite... je ne voulais pas… je t'assure… Mais tu sais bien... notre
s de porter son nom! Elle ne devrait même pas se trouver sa
me tourner de nouveau en direction de Yo
r à son niveau et de m
ore comp
de froideur. Il est déjà en train de la consoler et de lui dire de ne pas s'en faire… et de n
rien fai
samu, je te croyais bien plus loyal… bien plus noble. Je croyais aussi que tu avais bien meilleur go
plus petit remo
et la trahison n'en s
douleur. Durant des années, on m'a enseig
que tu paies la note… dis-je à Yoko, gl
eçois une rente très généreuse, tous les mois, depuis la mort de mon père et même bien avant… Quand je tour
e rôle de la méchante demi-sœur qui ne peut accep
t déjà ma mère avec la sienne bien avant sa mort, quand je n'avais que cinq ans... Je doute même que ce soit ré
oit trop tard. Je bats des cils et je ferme les yeux pour ne plus y penser, prenant une
en muscle qui sortait des toilettes rés
ras pour m'empêcher de perdre l'équilibre. Le nez rivé à ce poitrail musclé, une odeur discr
cils très épais, mais son regard est bien plus dangereux, bien plus meurtrier que ne le sera jamais celui de mon ex-fiancé. Il
et le tissu de grande qualité que je me trouve à toucher quand je reprends pied… seul ce
de ce monde… ex
rées et des galas de charité, à la demande de mon père, que j'accompagnais avec ma belle-mère et ma sœur… Mais j'étais
-je, d'une voi
petit regard inquisiteur. Il en parait quelque peu surpris, comme s’il ne s'attendait pas à ce que je le défie. Il faut dire qu'il
le premier dans ce couloir trop étroit pour nous deux. Il parait juger mon geste normal. Il n'est p
me dépasse pour retourner sans doute à sa propre table… un sourire fuga
s quel narciss
a aussi la peau d'une belle teinte bronzée, mais pas trop… Juste assez pour un Japonais de la haute société… Son visage est aussi très raffiné, avec une petite crevasse au creux du mento
eait mes préférences, ce qui est extrêmement rare… Et je me suis fait la promesse que plus jamais, oui, plus jamais je n'entrerai en relation avec des hommes qui ne sont parfai
e laissais aller un peu trop à ma vraie nature, lors de nos rendez-vous
onnu me hante dans
er que ce type n'est
esse de fanta
ne jouons pas du tout
une év