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Historique

Chapitre 3 Le destin de Sophie

Nombre de mots : 2648    |    Mis à jour : 20/06/2023

tin de

mêlèrent et m’empor

oroute de Hamburg à Brême. M

sion, c'était pour une formation. Il était devenu quelqu'un d'autre. J'avais tout fait pour le ramener à la raison sans succès. Son rêve était d'avoir quatre enfants et surtout des filles. Car ils étaient six garçons à leur maman et son frère aîné avait aussi déjà 4 garçons e

si je n'existais plus à ses yeux. Il n'était même pas présent lors de son accouchement.

ce qu'il était censé être présent mais ne s'est pas signalé. Je m'inquiétais

venais encore de réaliser un de ses vœux. Sa deuxième fille était là... Il ne me dit rien et se dirigea juste vers le berceau, prit Wendy dans ses bras, l'embrassa et la fixa longuement. C

mière vint prendre le bébé

la sale. Il fallait l

ne me félicites pas? Dema

Lança-t-il d'un to

attention à lu

hier? Tu n'es pas venu et

plaît. Je suis épuisé, je viens

ma meilleure amie Éliane ne savait qu'entre Claude et moi c'était fini depuis. Je ne voulais pas entendre les "on t'avait dit" et autres. J'avais donc préfér

u fla

ar la voix de Séraphin qui m’annonçait que no

on est déj

en essuyant mes larme

e méritait plus une seule de mes larmes. Je commençais à me demander pourquoi est-ce que je devais pleurer pour un ho

s pas. J'ai pu remarquer tata Yolande, Josée la copine de Séraphin et deux voisines Sénégalais

rai que Papa ne

Tata Yolande s'est approchée et nous a serrées en pleurant. On a commencé l

!!! (s

mmené la voisine à sortir. C'était une allemande. Quand elle s'est rendue compte qu'il ne

omo que se

ndre. C'est tata Yo qui s'est

eux qui étaient au salon et

re «laissez là, elle a

nd. Les filles sont venues me rejoindre. Wendy était déjà épuisée. Il fallait la mettre dans les conditions pour dormir et je n'en avais pas la force. Je ne voulais rien faire.

lles et je me demandais bien comment on allait traverser cette passe. Claude m'avait tellement fait de mal et continuait même après sa mort. Il m'ava

vait poussé à revoir le f

on me connaissait dans toutes les églises du coin. A cause

oint que j’avais fini par maudire le ciel. J’avais perdu la foi, brisant ainsi ma relation avec Dieu. J'ai dû quitter l'Église alors que j'étais une fervent croyante. Je suis devenue aigrie et jalouse

is tout sacrifié. C'était toujours moi qui

adre autre que chez nous aurait pu faire quelque chose. Il avait toujours voulu aller à Majorque, une ville d'Espagne située aux abords de la mer méditerranée, mais le temps lui manquait. Je nous avais fait des réservations de billets d'avion et de chambres d'hôtel, presqu'une suite pour tout

ais essayé en vain de le joindre... Les enfants étaient

llait se rencontrer à l'aéroport, qu'il nous faisait peut être seulement marcher. Il ne s'est jamais p

'est environ deux heures trente minutes de vol. J'ava

de guetter tous les couloirs de l’aéroport espérant l'apercevoi

stance. Melissa était triste. Elle avait cru passer de beaux moments avec son papa chéri comme elle l'appelait, mais ce ne fut pas le cas. Je me suis rapidement rafraîchie pendant qu'e

e cette maltraitance. Aucune considération de sa part. J'avais pourtant toujours prié, essayé de mettre la parole de Dieu en pratique. J'avais eu une jeunesse presque exemplaire. J'étais docile à la maison et à l'école.

mettre fin à cette histoire dès notre de retour à la maison, de lui dire ce que je pensais vraiment de lui et de mettre les points sur i. C'était terminé ces temps où je le suppliais et demandais pard

heureusement , le petit déjeuner était déjà servie. Nous nous sommes rapidement débarbouillées avant de des

Fit-t-elle t

décontractée en train de regarder la télé comme s'il n'avait aucun problème. Il avait l'air d'avoir passé la nuit à Majorque et dans le même hôtel que no

de! Lançai-je

ophie, comm

s-je en tirant la c

piège. Je le connaissais déjà assez et donc je ne lui laissai aucune ch

et votre avion avait déjà décollé. Le pro

s'expliquait après un écart de comportement et c'était

inua à

éveiller en venant dans la suite. J'ai pris une chamb

je les yeux

onne partie de ce qu'il racontait était faux. J'eus envie sur le coup de lui demander qui il est.

-t-il en prenant ma main.

ons déjeuner. Dis-je en m

ussi calme. S'il pouvait savoir combien de fois j'avais dû me maîtriser pour ne pas lui

d de la plage. Le temps n'était pas très beau mais il ne faisait pas froid non plus et les enfant

ersaire! Nous étions arrivés

préféré, un petit gâteau symbolique pour l'occasion et bien sûr du bon vin. La soirée était plutôt agréable et les filles étaient très contentes. Elles

re dans la suite, mais rien. C'était une situation qui l'arrangeait plutôt. Ne

tête reposée avec lui. C'était aussi ça l'autre but de ce voyage. J'ai pensé à ma marraine qui m'avait conseillée de toujours f

n de craindre quoi que ce soit. C'est vrai qu'il y avait déjà une grande distance entre nous mais je m’étais dis que peut-être après la soirée qu'on venait de passer il pouvait avoir repris ses

d soudain la porte s’ouvrit. Je l’avais à peine frôlée. Clau

t pas fermée, lançai-je d'un ton

lace au bord du lit

'a invitée dans cette cha

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