ns encore de ma première année en classe dans un groupe de degrés multiples. Je

me suis retrouvée dans une classe avec des enfants du même degré que moi. Je n’osais pas

la fin de mon secondaire. Je terminai mes études jusqu’en onzième année dan

enou. Quel travail cela demandera de rouler et la dérouler à la rencontre des religieuses ; car personne n’aimerait ces cotillons. Le pensionnat e

ous embarquons les bagages nécessaires afin de camper et de nous nourrir. Nous nous en allons afin de nous rendre dans une forêt à q

n forme. Le lendemain, nous nous mîmes à la recherche du petit fruit qui devait nous apporter la manne. Hélas, même si nous

n père décida donc de faire un emprunt de cinq cents dollars, le montant nécessaire pour couvrir toutes les d

à l’École Normale-Chanoine-Simard en septembre. Je pris possession de ma chambrette dans laquelle je disposais

, car celles-ci étaient vraiment trop longues. Deux par deux en un long rang, nous marchions sur le trottoir bordant le boulevard. Je détestais prendre cette marche car tout le monde

écrire le goût car une seule fois me suffit. De plus, le gruau ne faisait pas partie de mes favoris. Malgré cela, je réussis quand même à prendre quelques livre

ette année-là, nous nous retrouvâmes treize étudiantes de ma paroisse. Follement éprise, l’une d’

e longueur que les miens et coiffés de la même façon, cela augmentait le degré de difficult

sûre de moi, j’éprouvais de la difficulté à me faire de nouvelles amies. Certaines, très indisciplinées, s’émancipaient et allaient cher

me raisonnais. Je me disais que bien de personnes aimeraient s

minables mois. Je profitai de tous ces magnifiques moments avec ma famille, car je savais que bientôt, il me resterait encore beaucoup de t

le remémore en écrivant et je me rends compte que cela s’oublie à la longue. J’obtins mon diplôme d’ens