e les enfants, allez va, tu ne

ndormie elle était, il la tr

quelques dizaines de mètres, un bruit étouffé l'arrêtanet, il porta la main à la poitrine, déjà du sang coulait, il tomba àgenoux, il devait se lever pour mettre les enfants à l'abri. Avec la manche de sa chemise, il

et, son Père courir en haut de la colline, tomber, p

aller chercher Papa. Év

tte

deux personnes arriva

peut pas rester, c'es

l y en avait cinq, son Père lui avait dit la troisième, ils ne pouvaient pas se tromper,c'était celle du milieu. Ils s'y engouff

essionnante lapente très abrupte tombait sur la côt

c'était vertigineux, il re

sage étroit à gauche

x. Ils ne pouvaient plus reculer. Ils serpentèrent unmoment et ça

rent unmoment. Ils burent un peu d'eau et grignotèr

ent devant cette bâtisse, l

r arriverait. Luc lui avait dit qu'il aurait besoin de lui,pour

enfants et

isaucune larme ne coulait de leurs yeux. Leur Père leur avaitdi

pa m'a donné cette

, l'ouvrit, la lut au début

de t'occuper de mesenfants, dans les sacs à dos, il y a suffisamment pour leuréducation et

nna son sac à

entaine de liasses peut être plus. Éva s'avança et ouvrit le sien, qui était plus gra

eva les yeux a

'en avais parlé, mon rêve va se réaliser, je vais pouvoir donner à tous ces orphelins une no

ène des pompiers et on aperçut sur la colline u

it un signe de

nts, nous allons

seul, après avoir laissé les enfants dans la sallecommune de lecture avec

jeunes qui lisaient ou dessinaientsur leur petit bureau. Le silence régnait et c'e

le avait été avertie, son Père lui avait expliqué que les femmes, les hommes naissent et meurent un jo