raine avec effusion, en se jetant

is, Lorrie, je compte toujours sur toi pour prendre la relève et perpétuer notre héritage familial.

à sa persévérance, la famille était désormais l'une des plus influentes et respectées du pays. Aldo était en général satisf

actérisaient par leur extrême obstination et leur désintérêt pour l'entreprise familiale. L'un d'eux avait choisi de servir son pays en s'engageant dans l'armée, tandis que l'autre s'était épanoui en se consacrant pleinement à sa passion pour l'art. Aucun d'ent

de leurs ailes protectrices, elle avait enduré de terribles

et éprouvantes années, se sentait désormais réchauffée au plus profond de son c

tout réfléchi et j'ai appris ma leçon. Je suis de retour pour de b

é avec soulagement : « Dieu merci, tu as enfin retrouvé la raison. Je peux dès lors envisager de me repos

afin qu'il te guide et te prépare à assumer le rôle de PDG. Tu te souviens de Cayson Benton, n'est-ce pas ? Ce jeune homme talentueux m'a été d'une aide inestimable au cours de ces trois dernières années. I

oraine a secoué doucement la tête et a répondu : « Grand-père

tient de droit. Tu es tout à fait légitime pour prendre le poste de PDG ! » Aldo, manifestement

tte responsabilité. Tu m'as dit toi-même que Cayson avait fait un excellent travail en dirigeant l'entreprise en ton absence. Si je venais à prendre le poste de PDG maintenant, les employés et

ons ou des réticences qui pourraient se manifester. Cayson est un homme bienveillant et compréhensif. Il

s et de mon potentiel. Je veux d'abord leur prouver ce que je suis capable d'accomplir. De plus, je devrais apprendre à mieux connaître l'entreprise. Si je ne parviens

ontre sa déterminée petite-fille, a finalement soupiré et

'entreprise », a répondu Loraine sans hésiter. Son attitude sé

vraiment fier de toi et de la réflexion que tu as menée. Je suis convaincu que tu graviras le

a décision de Loraine. Cependant, il savait pertinemment qu'il ne pourrait pas faire change

que tu es déjà déterminée à suivre ce chemin, je ne peux

oraine, rayonnante de joie, en serrant

oute pour rentrer à la maison. Il

la pièce ensemble. Le cœur de Loraine était sur le point d'exploser de joie. Elle ne s'était pas sentie aussi heureuse et conf

qu'elle ne soit brusquement réveillée pa

a vérifié l'écran de son appareil. C'était un

a fixé l'écran de son téléphone, cherchant à rassembler so

ent agacée de Marco s'est fait

der directement le sujet qui la préoccupait : « As-tu réfléchi

Je sais que tu es fâchée contre moi, Loraine, mais ne penses-tu pas que tu es en train de commettre une erreur ? Ne crois-tu pas que tu vas trop loin ? Pourquoi a

rop loin ? C'est ce qu'il a

d'un ton indifférent : « Pour ton information, je ne plaisa

bout du fil. Marco étant visiblement déstabilisé

ée comme ta véritable épouse, Marco. Je te donne là l'occasion d'être avec Keely, librement et sans entraves. Je

rein est une autre personne depuis le début, pas toi. Tu es ma

ent ? Et que ferais-tu si ton soi-disant do

ent répondu : « Elle n'a pas besoin d

sion, réalisant à quel point

tenté de lui prendre son rein, et Marco ne l'avait pas punie pour c

Keely. Donne-moi un divorce ! »,

er au téléphone. Parlons-en tête-à-tête. Reviens à la

té. Se levant du lit avec détermination, elle s'est préparée à commencer le

ée à mettre fin à c