PIT

’il pousse la porte. De nouveau, il me dévisage. On dirait qu’il me passe au scanner. Je baisse les yeux car soutenant son regard inquisiteur est plus fort qu

e vais pas t

qui est plus grave que tout à l’heure.

mment t’ap

i :

tente de te

i :…

es tu

x) : désolée monsieur suis occupé

tient qu’à toi

: ……

t. Bientôt tonton va arriver et je

tu es to

ait dans sa chambre. Qui va même me délivrer de lui ? Je ne sais pas trop mais je suis mal à l’aise en présence de lui. Au lycée, j’ai eu des gars qui me draguaient. C’était des élèves et ils étaient de ma génération mais lui il est mon grand frère. Je ne le gère plus et me lève pour surveiller la cuisson de la sauce. Il est toujours là planté comme un piquet. Ma sauce est à point.

t quoi tu as

peur ? je ne vous connais pas c’est tout. Je dois

’il est venu, je ne sais rien de lui et il m’enquiquine. J’entends la porte de to

n comment éta

bien merc

uis allée au mar

ce à table) : ah bon ?

que je fasse les course

ton :

le deuxième plat. Il est ét

comptes m’assi

on. Il y’a un mo

ournant vers moi)

as tonton. C’est la premiè

: Esthe

rde à venir comme d’habi

oui papa tu

monsieur qui est là et q

e du loup, on

bonjou

e voir) : ah Christ

n : assez

it un bail que j

: tonton tro

omme ça tu oubl

en lui indiqu

merci tonton.

e pas un coup

tonton pas plus tard que la semai

nton

ilise et remettre la pièce en état de propreté. Je vais prendre une

e même venir m’a

oupirant) j’é

ché là qu’on a fait ? et si tu étais au village et devait fai

livre) : Le Seigneur sait

us cas et en toutes cases, c’est dans t

phie

prendre ma douche. Je prends ma trousse et j’ouv

monsieur qui est là bas au sal

. Bon c’est tonton Christian. C’est le petit frère de mam

bon ? on ne

i tu poses toutes

ir non ? je ne l’ai jamais

euma Marie. J’espère qu’elle va bien. J’ai pris le numéro de téléphone de Papa Anthon. Elle m’a interdit de l’appeler avant un mois. Je n’en peux plus. Je veux entendre sa voix. Elle me manque. Je me lave rapidement. Aujourd’hui pas d’eau dans la baignoire. Je dois a

son nez sous mon orei

(en me débattant d

i c’est un jeu. Il me

ne me lâchez p

ez calmes toi. Je

a salle de bains) : c’est un

des formes hein. Arrêtez de mett

juste quelques heures que je connais Christian et qu’il me trouble déjà. Je me lève et porte ma robe. J’ouvre la porte en regardant de gauche à droite en espérant ne plus le croiser sur mon chemin. J’entre dans la chambre et me change. Je cherche dans le placard mon petit calepin où j’ai noté le numéro de papa anthon. Il est là. Je regarde l’heure. Il est quatorze

r : où

e c’est la police

mes nous dans

i :

. Je sors du portail et me dirige vers la route. Non loin de là

bonjou

lançant un re

ce que je pe

de problème m

Un instant sil vous pl

lepin et lui d

: c’e

: ok

’aller chez papa Anthon avec meuma lorsqu’elle appelait s

le :

tend le

: merc

idée d’entendre la voix de meu

ix :

onjour pa

bonjour c

nny la petite fi

: hé ma fille

ais bien et

x rappeler ? je vais envoyer

on. Je rappelle dans

Antho

oi

oche le

vais rapp

roblème. Donnes moi le téléphone pour

donne et

fera deux

oi

sous le soleil q

ens t’asseoir ic

: merc

ce et regarde

ses moi tu es

oui po

que tu as de

) : ah c’est com

e changes

homme vie

rs la go c’

dis donc. C’est

jours entrain de crie

je n’ai pas alors

Pardon je ve

elle elles so

ta route. Je suis séri

bout de temps que je suis là. Meuma

ux avoir le t

éro s’arrête et me regarde.

à lui) : il y’a un

barassé) :

gaiebéye (bégay

ui

nouveau le n

ix :

: me

oix enrouée)

nt va

se) : ca va bie

va alors raco

je vai

il te traite bien ? et sa femme ?

s répondre comment à tout

tu sais que je voudr

chambre que ma petite cousine. Tata et Tonton sont ge

s contente que t

es pas. Le Seigne

uma

je ne pouvais pas attendre un

utais que tu ne po

t ta sant

les rhumatismes sont ma

t te puisent de l’ea

outes les recommandations que je t’ai donnée. Concent

oi

de toi. Les hommes sont tou

reniflant)

res et surtout pr

euma ne trava

a : ou

rè moi) : meu

nds soin de t

je t’e

nque beaucoup. Je remets le téléphone à la dame. Je me

sit) : puis je savo

ues instants) : ca fe

née) : jusqu’

u alors ca

i :

it monnaie et l

pourtant tu as un

m rembours

une voix

mment t'ap

wan

la charité comme par so

tiens t

et tourne

tends ne t

ment où tonton sort avec la voiture

ppris qu’on sort d’i

ur fai